Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
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     Posté par Lydia M. le 27.2.04

Brève de comptoir n°3

Comment se fait-il que personne ne soit foutu de s'apercevoir que Superman, c'est Clark Kent ? Surtout Loïs, qui bosse avec lui toute la journée (fait pas beaucoup d'efforts la demoiselle, ou alors, elle a besoin d'une bonne paire de doubles foyers).

Si Wonder Woman et mon ex-patronne n'avaient été qu'une seule et même personne, je l'aurais tout de suite remarqué.

Forcément.









     Posté par Lydia M. le 24.2.04

SOS

Oui, je sais, ça faisait très longtemps que je n'avais pas écrit...Certains d'entre vous ont du se lasser, mais je suis toujours là, même si actuellement je me demande si c'est bien moi.
Vous voulez vraiment savoir ce que je trafiquais ?
Eh ben, j'ai quitté Lejolitravail, sans dire au revoir à mon gentil patron qui m'estimait et m'adorait. Pour votre info, voici sa réaction in extenso, à l'annonce de ma démission : "C'est un beau cadeau de Noël". Et après ça, l'a rien trouvé de mieux à dire que j'aurais pu dire au revoir. C'est vrai merde, après tout ce qu'il avait fait pour moi ce gentil patron, j'aurais pu avoir la politesse de gnagnagnietgnagnagna. Ben non : pas au revoir vieil enfoiré de mes deux, et à jamais surtout !
Après, je suis partie à la montagne avec Timinus : comme j'ai également 5 ans dans ma tête, je ne pouvais pas m'arrêter de faire de la luge. Il en avait marre avant moi. "Oh non, allez encore un tipeu Timinus, allez quoi, une pitite descente juste pour rigoler !".

Et depuis hier, suis devenue un modeste pion dans une très très grosse boîte.

Et...

Que dire ?

Que les périodes d'essai, c'est IN-DIS-PEN-SA-BLE.







     Posté par Lydia M. le 9.2.04

Le 14 février, ça vous dit quelque chose ?

Comment garder son calme quand on reçoit un message aussi stupide ?
Je sais bien que c’est la Saint-Valentin, fête des zamoureux ! Mais moi je n’ai pas d’amoureux !
Cela étant, quand j’en avais un, enfin, quand je pensais en avoir un, cela ne changeait pas grand-chose : pas de pause, ne serait-ce que d’une journée dans sa goujaterie et son indélicatesse (mais il paraît que c’était tout de ma faute : pasque, je l’ai déjà dit, j’étais une méchante sorcière et tout, et tout…).
Ceux qui ont concocté ce message ont pensé à tout, en le divisant en deux parties : l’une réservée aux casés, qui nagent dans le bonheur de vivre à deux (ils peuvent, pour l’occasion, s’offrir des voyages aux Bahamas, des jolies bagues, des strings en dentelle, etc..) et les autres, les indigents, qui sont célibataires, mais qui peuvent profiter de tout cet amour flottant dans l’air pour faire des rencontres sur internet…A vrai dire, présentée comme ça, la 1ère catégorie ne m’a jamais donné vraiment envie, mais pas uniquement à cause de mon légendaire esprit de contradiction et mon aversion héréditaire pour les fêtes programmées : proclamer et fêter son amour une fois par an seulement, ne rime à rien. Si c’est bien, pas besoin de célébrer ça annuellement, mais quotidiennement !

Enfin, bon, je fais mon intéressante, mais pour l’instant, personne dans ma vie avec qui fêter quoi que ce soit le 14 février prochain : banalement, celui-ci sera donc le lendemain du 13, mais surtout, la veille du 15.
Et l’avant-veille du 16.



Tragicomix : bellâtre, amoureux, et très très énervant !