Ambiance, ambiance
Je lance aujourd'hui un SOS : ça dégénère grave de chez grave au Stalag 17. Landry (Landru ?) a recruté un modèle profilé de chiennasse comme nouvelle secrétaire : chienne dans tous les sens du terme, chienne à sa maman, qui fait de la délation. Elle s'offusque qu'on lui demande de travailler, oubliant qu'on lui a rendu des tas de services à son arrivée, elle qui savait à peine allumer son ordinateur, elle demande à Landry (c'est trop !) de "mettre de l'ordre parmi ces agents qui s'octroient le pouvoir de décider". Les imbéciles ont définitivement pris le pouvoir au Stalag : il est temps de prendre ses jambes à son cou, ce dont je suis totalement incapable car Véronique et Davina ont laissé sur mon corps meurtri par l'exercice des stigmates fort douloureux.
Difficile de ne pas aller se payer Madame la voix de son maître et de garder son calme quand on la croise dans les couloirs.
Cette médiocrité crasse me fout le bourdon comme ce n'est pas permis ! Il ne manquerait plus qu'on se prenne une tôle contre le Danemark demain !!!

P.S. :
1. j'ai passé un entretien avec le sosie de Robert Castel
2. Menu d'une crêperie à côté de chez Ikéa : "demandez nos galettes, garnies au : lapin aux pruneaux, magret de canard, chili". Je prends les trois en même temps, avec un peu de choucroute et de couscous SVP !