Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 28.12.05

On enchaîne, baby, on enchaîne !

Pfiouuulala.
Pas évident d'enchaîner après tout ça, hein.
De revenir à la gaudriole, comme ça.
Paf, sans transition.
Ca peut en déstabiliser plus d'un.
Bon, ben du coup, faut que j'y aille, là.
C'est que j'ai un texte marrant à écrire.
Et ça ne peut pas attendre.







     Posté par Lydia M. le 26.12.05

Bonjour tristesse

Après un Noël haut en couleurs, dont je causerai très prochainement, on enchaîne sur l'autre réveillon, celui du 31 décembre.
Celui-là aussi, je devais le passer autrement.
Avec toi.
Je n'avais pas envisagé de finir cette année, ni de commencer la suivante sans toi.
Je m'étais aussi promis :
De ne pas parler de toi ici,
De ne pas t'envoyer de message,
De ne pas me demander à qui tu parles, ni ce que tu es en train de faire (surtout pas).
De ne pas penser à celle qui me succèdera.
Je ne tiens pas mes promesses (du moins celles que je me fais).
Je me perds dans des rires alcoolisés et enfumés.
Mais, quand je rentre chez moi, je me prends tout dans la figure.
Et là, je suis juste seule avec mes larmes.
Pourtant, pour citer encore une fois les dialogues de Casablanca, il est peut-être temps pour moi de me lancer dans cette bataille-là : "I'm not fighting for anything more except myself. I'm the only cause I'm interested in."
L'idée est d'en sortir gagnante (et vivante).







     Posté par Lydia M. le 25.12.05

25 décembre
"Votre Climat Astral du jour
Les aspects d'aujourd'hui ne parlent que de relation, Lydia. Avec un grand " R ". Il n'est pas si facile, vous l'aurez remarqué, de construire une relation avec autrui. En premier lieu parce que les demandes respectives de l'un et de l'autre sont difficiles à comprendre, mais aussi parce qu'elles "obstruent" souvent le chemin. Moins on est en demande, plus la relation est souple et...possible !"
Bullshit.
Tu parles d'un climat.
Je l'emmerde profond, tiens.
(Peut pas me parler d'autre chose le jour de Noël ? En même temps, suis pas obligée de l'écouter.)







     Posté par Lydia M. le 23.12.05

Bon

OK.
Et maintenant, je fais quoi ?
1. Je sèche mes larmes (mais là, veille de Noël, ce putain de réveillon...heureusement, heureusement, y aura quand même de la picole et des ricanements, des gloussages même, des petits cadeaux, de l'amitié...). Et une fois qu'elles sont séchées, je les empêche de couler à nouveau. Bref, je cesse de chialer.
2. Je fais en sorte de ne pas avoir l'impression d'être dans un grand huit, avec des descentes qui filent la gerbe, et des ascensions pour le moins vertigineuses (en même temps, pour redescendre, il faut bien monter, patate).
3. Je ne vise pas malgré tout la ligne droite, je n'y arriverai jamais (c'est super chiant en plus)
4. Je vais faire cuire le pain d'épices pour dimanche.
5. J'arrête d'écouter Cali dont les chansons me font immédiatement pleurer.
Pour l'instant, c'est plus facile à dire qu'à faire (à part le pain d'épices, et Cali).







     Posté par Lydia M. le 22.12.05

Encore une histoire de communication
(une petite dédicace à la concepteuse, en passant)

Parfois, on pose des questions et on n’a pas de réponse du tout.
Parfois, on pose des questions, et on n’a pas la réponse qu’on attend, parce qu’elle est décalée, qu’elle n’est pas celle qu’on imaginait ou que la vraie réponse serait trop dure à entendre, enfin du point de vue du répondant, qui finalement, n’assume pas très très bien.
Ca peut venir de l’absence de clarté de celui qui pose la question, qui n’a peut-être aucune envie d’avoir des réponses, parce que ça peut l’arranger en fait.

Mais bon, y a des questions simples, qui appellent des réponses simples, bordel.
Faut pas déconner.
Là c’est facile, on prend son téléphone, et on appuie sur les touches adéquates, ou bien on tape sur son clavier si on ne veut pas parler.
Et après, il y a toujours moyen de s’arranger.









Enigmatiques convictions personnelles

Il y a des choses que j’ai besoin de faire seule, et d’autres non.
Il y a des choses que je dois faire seule, et d’autres non.
Il y a des choses que je peux faire seule, et d’autres non.
Il y a des choses que je sais faire seule, et d’autres non.
Il y a des choses que je veux faire seule, et d’autres non.
Je commence à savoir ce que je ne veux pas.
Je ne suis jamais vraiment sûre de ce que je veux.
Je sais ce dont je dont je suis capable, mais je peux encore me surprendre.
Je ne veux pas n’avoir que des devoirs, ni des obligations.
Je crois que j’ai fini par admettre ce que je ne serai jamais, et que le mieux était de vivre en adéquation avec ce que je suis.
Lucide mais pas désespérée (enfin pas totalement. Je ne suis pas en pleine déconfiture de Noël, même si tout est réuni pour que j'y sois, et jusqu'au trognon...).

(et pour tout ça, je remercie : mes géniteurs, sans lesquels je ne serais pas là, mon coach, qui se reconnaîtra, mes ami(e)s, ceux d’hier, mais surtout ceux d’aujourd’hui, mes amours et mes emmerdes)







     Posté par Lydia M. le 21.12.05

Self-control

Sa mère.
Je viens de passer une salve de mails et de coups de fil, histoire de ne pas faire ce contre quoi je lutte depuis deux jours, à savoir envoyer le sms, le mail, le message de trop.
J'ai encore réussi cette fois-ci.
Je teste mes capacités de résistance (prouve que tu exi-istes !).

J'ai quand même un doute (pour ne pas dire, le doute m'habite).
Mon cerveau me joue des sales tours, encore une fois.
Il m'entraîne là où je ne devrais pas aller, là où je ne voudrais pas aller.
A bas l'auto-torture mentale.









Ma résolution du jour
(et des 40 prochaines années)

Cesser de survivre, et (re)commencer à vivre.

(Ouaip, je sais, ça casse un peu l'ambiance...)









Asile blogguesque

Un jeune expatrié au pays des roasbeefs, pourtant honnête futur père de famille (c'est imminent semble-t-il, c'est peut-être même fait à l'heure qu'il est), me demande de publier ceci :

"J’ai 32 ans. Je suis sorti de l’Université avec un diplôme et un métier à 22 ans. J’ai trouvé un travail à 22 ans, au bout de 2 mois de recherche. Ce boulot, je l’ai gardé 3 ans ½. Ensuite pour des raisons diverses et variées, j’ai décidé de quitter mon boulot, et de monter en Angleterre. Comme ça. Juste pour être auprès de ma copine à l’époque. Là, j’ai eu une proposition de boulot dans la semaine qui a suivi mon arrivée, puis une seconde qui s’est concrétisée en 1 mois et demi. Ce boulot je l’ai gardé 3 ans ½, avant que la boite ne coule. Je suis reste au chômage 4 mois, avant de trouver un boulot que j’ai gardé 15 mois. On m’a licencié pour raisons économiques. Je suis resté 6 mois au chômage, avant de trouver un boulot que j’ai depuis un peu plus d’un an, et je suis passé à mi-temps depuis un poil plus de 2 mois.

Malgré cela, je participe financièrement à mon ménage à la même hauteur que ma femme qui bosse à plein temps. Et depuis que j’ai 22, je suis financièrement indépendant, même si je bénéficie de temps à autres (à Noel et pour mon anniversaire) de petits chèques qui arrondissent les fins de mois. J’ai un PEL bien rempli, je mange à ma faim, j’ai un toit, une voiture que j’entretien, j’ai voyagé autour du monde et j’ai su en profiter… Bref ma vie se passe plutôt peinardement…

Dois-je alors me soucier qu’une pétasse blonde de 28 ans, qui a un diplôme qui lui permet d’être chômeuse professionnelle ou vendeuse chez Promod, qui vit dans le 16ème à Paris grâce aux ponctions qu’elle fait dans le portefeuille de son père qu’elle ne peut pas voir en peinture, qui passe le plus clair de son temps à transpirer pour essayer de perdre son gros cul dans des salles de gym, où elle espère trouver un Romeo plein aux as pour arrêter enfin d’avoir à passer de mecs en mecs pour avoir l’air d’avoir une vie sociale, et qui n’a rien de mieux à faire pour s’occuper le neurone que de se prendre pour Madame Irma à tirer les cartes (et surtout penser que c’est la chose la plus importante au monde), et dont la seule inquiétude dans la vie est de savoir si il restera un héritage à la mort son père, pense que j’attende que tout me tombe du ciel ?

Je laisse à chacun se faire son idée sur la question…"
Bien évidemment, ces propos n'engagent que son auteur.
Mais on est quand même de tout coeur avec ce sympathique jeune homme (qui au bout du compte, s'en cogne parce qu'il va à Turin, au cas où vous n'auriez pas saisi).
Prends garde à toi jeune homme, car le meurtre est sévèrement réprimé par la législation en vigueur, à moins que l'on ne te trouve des circonstances atténuantes.
Et trouve toi un alibi en béton.







     Posté par Lydia M. le 20.12.05

Les idées déco de Sue Ellen


Hier soir, Superman, qui avait un peu abusé de la kryptonite pétillante, me montre le cadavre du magnum de Mumm cordon rouge qu'on venait de finir, et me suggère assez fièrement : "tu pourrais te faire une (super)lampe avec ça. Suffit de trouver un abat-jour".
Putain, mais quelle vache de bonne idée !! (C'est bien la preuve qu'on ne devient pas un super-héros par hasard !)
Il faut juste que je ne le fasse pas à chaque fois que j'ai une bouteille vide chez moi.
(et puis comme j'ai besoin de m'occuper les mains, je confectionnerai des abats-jours, avec des petits morceaux de laine, parce que entre temps, je me serai mise au tricot et qu'il me restera des chutes...)


Quel joli pied de lampe (une fois vide !) !










La réponse de la bergère au berger

La mienne était meilleure ! Et très photogénique (ta mère) de surcroît.
Non mais !!
Bien que cette raclette ait été rebaptisée (par moi-même), la raclette de la discorde, la raclette maudite, celle par laquelle tous mes malheurs sont arrivés.

Et puis de toutes les façons, c'est pas tous les jours qu'on a la chance de dîner avec Superman, car hier soir, y avait bien Superman à la maison (même que c'est lui qu'a apporté la cochonaille).









Pouce !

Je voudrais que mon cerveau se mette un peu en veille, si c'était possible, qu'il me foute la paix, quelques jours.
Qu'il m'empêche de ressentir ce que je ressens depuis hier soir.
Ce manque insupportable.
Cette envie irrépressible d'envoyer le sms qu'il ne faut pas, ces larmes que je ne peux pas retenir au réveil.
Allez, vas-y, sois sympa, j'ai besoin d'une pause !
Faut me laisser tranquille maintenant (bordel de merde).







     Posté par Lydia M. le 19.12.05

Jubilatoire

Quelques morceaux choisis, des morceaux de dialogues de Casablanca, revu ce week-end, un nanar magnifique en somme, avec du cynisme, de l'opportunisme, du vichysme, du romantisme, de l'amouuuuur, une grosse tourte suédoise, les clopes au bec de Bogey, des verres d'alcool bus à moitié.


Yvonne : where were you last night ?
Rick : that's long ago. I don't remember
Yvonne : will I see you tonight ?
Rick : I never make plan that far ahead


Captain Renault : what in heaven's name brought you to Casablanca ?
Rick : my health. I came to Casablanca for the waters
Captain Renault : the waters ? We're in the desert !
Rick : I was misinformed


Major Strasser : what is your nationality ?
Rick : I'm a drunkard
Captain Renault : that makes Rick a citizen of the world


Ilsa : kiss me. Kiss me as if it were the last time.


Ilsa : but what about us ?
Rick : we'll alaways have Paris. We didn't have we, we lost it until you came to Casablanca. We got it back last night


Ilsa : I wish I didn't love you so much


Et voilà.
Et une chanson dans la tête, you must remember this, a kiss is still a kiss, a sigh is just a sigh...







     Posté par Lydia M. le 18.12.05

Samedi

De la fumée, de la bière (plein...), des yeux qui brillent (pas à cause de la fumée), de la légèreté, des grosses poilades (notamment en concoctant le scénario d'un porno confiseur).
Merci, merci, merci les amis...







     Posté par Lydia M. le 15.12.05

L'exploit du jour

Aujourd'hui, j'ai mangé.
Un menu 6 au restau taponais : deux sushis et un maki au saumon, deux brochettes boeuf-fromage et une soupe miso.
J'ai pas fini mon riz (enfin, pas commencé pour être plus précise), ni mes crudités (pareil).
C'est un exploit, si on tient compte du fait que depuis dimanche soir, j'avais exactement absorbé une assiette de spaghettis bolognaise hier midi (ma mère m'a forcée) et quatre dattes hier soir.
Merci d'applaudir la performance.
Clap-clap-clap.
(Ca ressemble au journal d'une anorexique, bordel.)
En théorie, en se basant mon rythme d'alimentation actuel, je dois pouvoir tenir une semaine avec cette débauche calorique.
Mieux vaut en rire.
Ouaip.









Dons
(et donc ?)

Mes dernières tergiversations et gambergeages m'amènent à vous exposer ceci : dans la vie, il y a deux catégories de gens, ceux qui donnent et ceux qui reçoivent.
Ceux qui donnent ne le font en général pas pour, dans le but de, recevoir. Ceux-là sont souvent aussi fondamentalement et intrinsèquement des êtres faits pour l'amour.
Mais ça ne veut pas dire qu'ils n'attendent rien. Attention, hein, la question n'est pas celle du retour sur investissement. Rien à voir puisqu'il s'agit ici de sentiments, donc de don de soi, d'implication personnelle, d'envie de vivre, tout simplement.
Ceux qui donnent doivent être capables de recevoir, même si c'est sur un registre très différent.
Ceux qui reçoivent doivent aussi savoir (vouloir, pouvoir) donner (et merde, ça me fait penser à Florent Pagny, c'est la cata).
Sinon ça ne peut pas marcher (la preuve).
Et donc ?
Vous vous en foutez ?
Pas moi.







     Posté par Lydia M. le 14.12.05

Incantations
(Des trucs à faire ou à ne plus faire)

Retrouver le sourire
Retrouver le sourire
Retrouver le sourire
Retrouver le sourire
Retrouver le sourire
Recommencer à manger
Recommencer à manger
Recommencer à manger
Recommencer à manger
Recommencer à manger
Passer des nuits apaisantes
Passer des nuits apaisantes
Passer des nuits apaisantes
Passer des nuits apaisantes
Passer des nuits apaisantes
Cesser de pleurer
Cesser de pleurer
Cesser de pleurer
Cesser de pleurer
Cesser de pleurer
Continuer à y croire
Continuer à y croire
Continuer à y croire
Continuer à y croire
Continuer à y croire

(Je vous préviendrai quand ça aura marché)









Le dilemme du jour
(Plus facile que le précédent ? Moins cornélien peut-être, enfin, faut voir)

Avoir la femme de sa vie sur le point d'accoucher et du coup sa belle-mère casse-couilles à la maison depuis deux semaines, et pour encore au moins deux semaines, ou être dans ma situation (c'est-à-dire avec le coeur en millions de petits morceaux qui font très très mal) ?







     Posté par Lydia M. le 13.12.05

Inéluctable...

Hier soir, tu es venu chez moi, mais ni tes lèvres, ni tes mains ne se sont posées sur moi.
Nos corps ne se sont pas touchés.
Tu étais beaucoup trop loin.
Assis sur une chaise, près de la table, moi sur le canapé.
Tu m'as regardée pleurer.
Pas très longtemps finalement, mais ça m'a paru une éternité.
Le temps de se dire que oui, en effet, tu m'avais claqué les portes au nez, juste pour ne pas me faire entrer dans ta vie.
Pour reconnaître aussi que notre histoire, n'était pas si moche, bien au contraire, qu'elle était plutôt belle même...mais que tu ne lui avais laissé aucune chance. Il y a pourtant des évidences qui ne trompent pas.
Quel gâchis.
Quel dommage.
Tu es ce qui m'était arrivé de mieux ces dernières années (et je crois bien que tu peux en dire autant de moi...).
Avec toi, je me sentais libre, belle, désirée et heureuse.
Mais, car il y a toujours un putain de mais, je n'étais nulle part dans ta vie. J'avais beau m'y chercher, je ne m'y trouvais pas.
Et désormais, je n'y serai plus.
Ni dans ta vie, ni dans tes bras, ni dans ton lit.
J'émerge d'une nuit sans sommeil.
Ma tête et mon corps n'en peuvent plus.
Je n'irai pas travailler.
Rideau.







     Posté par Lydia M. le 9.12.05

Le dilemme du jour
(cornélien, s'il en est)

Quand on me demande si je veux un digeo ou un chon, c'est comme si on me demandait si je préfère ma mère ou mon père...







     Posté par Lydia M. le 8.12.05

Déménagement...



Je me demande qui a bien pu poser ces deux bouteilles sur mon bureau...








     Posté par Lydia M. le 7.12.05

Bientôt mon retour...

...sur la scène blogguesque et interplanétaire de l'humour, du cynisme et de l'ironie.

En attendant, je déguste dans mon coin, je peine à tout porter, toute seule, presque tout le temps.
Je fais des projets de bouger, mais seulement à l'intérieur de mon appartement, parce que je n'ai finalement pas envie d'en partir, enfin pas comme ça.
Chaises musicales.
Hop, hop, j'intervertis.

Et après ?







     Posté par Lydia M. le 4.12.05

6 jours

Je voudrais tant qu'il n'y ait pas cette journée entre le samedi et le lundi.
Pour moi, c'est le jour de trop.
Celui où j'ai les mauvaises sensations.
Celui où je doute de ma capacité à rendre qui que ce soit heureux.
Celui où j'espère, souvent en vain, que mes intuitions ne seront pas bonnes.
Où je me répète, sans conviction, que je dois me tromper.
Insupportables, Inutiles, mais probablement pas infondées, anticipations.
Rien pour me rassurer.
Pas un petit rebord où m'accrocher.
Juste emportée par un putain de tourbillon.
La litanie du dimanche (à la con).
Messe noire.
(comme quoi ça m'arrive d'être inquiète)
Bande-son du jour : I try (Macy Gray)
"Games, changes and fears
When will they go from here
When will they stop
I believe that faith has brought us here
And we should be together, babe
But we're not
I play it off, but I'm dreaming of you
I'll keep my cool, but I'm fiending (...)"







     Posté par Lydia M. le 2.12.05

Quand te reverrai-je, pays merveilleux ?

Pas bronzée, le teint proche du livide.
Et pi pas de ski non plus (mais ça, c'est moi qui le veux bien. Manquerait plus qu'on me force à en faire. Faut pas déconner, non mais.).

Enfin, tout ça pour dire que j'ai une furieuse envie de manger une raclette, miamslurp, avec des bonnes pommes de terre, un peu de charcuterie, de la viande des grisons, sans oublier les cornichons.
Envie renforcée par le fait, que d'habitude, avec certains de mes camarades, on lance le top départ de la saison raclette vers la mi-août. Et cette année, on a manqué l'inauguration.
Sa race.
J'imagine que, forcément, certains de mes lecteurs vont m'expliquer que la raclette c'est pas bon, que ça ne se mange pas avec des cornichons, qu'il faut forcément des oignons ou des oeufs de caille. Ou que la tartiflette ou la fondue c'est meilleur.
Mais honnêtement, je m'en cogne, mais alors comme vous pouvez pas imaginer.
Je m'en tamponne grave le coquillard.
J'ai juste envie de manger une raclette.

C'est tout.