Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 31.1.05

Stay here, I'll be back*...


Je taille mes crayons,
Je gamberge encore un petit peu,
Rien qu'une lichette.
Et j'arrive.



*Promis, juré, craché !!







     Posté par Lydia M. le 26.1.05

Boomerang

Les jours passent, péniblement...
Les nuits sont longues, agitées, solitaires...
Les matins de mon hiver se ressemblent : pas d'énergie, en retard, courir, le thé à peine bu, debout dans la cuisine...L'esprit qui vagabonde, lourdement.
(Comme dans la chanson, je sens des boums et des bangs, agiter mon coeur blessé, etc, etc.)

Je ressasse, c'est idiot, je le sais bien, je ne devrais pas...et tout me revient, paf, de plein fouet...Ca, et le reste.
Quelques phrases dans des mails, de supposées explications, obtenues à l'arrachée, une maigre victoire, presque une consolation. Lues et relues pour voir si...
Et puis non, il n'y a justement rien à voir, rien à attendre, rien à en tirer.
Des mots finalement vides de sens.
Des trucs et des machins à remiser avec les souvenirs, les bons et les mauvais.

Alors, comme j'ai encore un peu de temps devant moi, il n'est pas question que je m'arrête en si bon chemin, que je m'avoue vaincue.

Considérons donc que c'est juste une petite étape, une terne transition, un entre-deux un peu glauque, un morne soupir.

Je peux encore être surprise.
Non mais, des fois.











     Posté par Lydia M. le 24.1.05

Patatras

Désolée, ami lecteur, je te sens impatient, voire un peu déçu : tu viens quotidiennement sur cette page, qui n'a pas été actualisée depuis maintenant 5 jours.
Tu veux vraiment savoir pourquoi ?

Et bien, c'est simple, puisque tu y tiens, je vais te le dire : parce que en ce moment, rien ne m'inspire.
Rien ne m'émeut.
Rien ne m'amuse.
Rien ne me fait envie.
Tout me pousse à l'inaction.

Appelons ça un passage à vide.
Mais ne nous laissons pas envahir par le doute.

J'irai mieux à un moment, forcément.
Faut juste voir quand.











     Posté par Lydia M. le 19.1.05

Disproportion

Un tel titre pourrait te faire penser, camarade lecteur, que je vais à nouveau évoquer la taille de mes attributs féminins.
Et bien non, désolée, camarade obsédé sexuel, mais je n'ai rien de nouveau à en dire. Mes seins n'ont donc pas subitement grossi et mon postérieur est resté égal à lui-même.
Non, mon propos n'a rien à voir avec tout ça, camarade dépité.
C'est juste qu'hier pendant ma pause déjeuner, j'arpentais d'un pas décidé le luxueux pavé du 7è arrondissement, à la recherche d'objets totalement essentiels, afin de redonner un semblant de dignité à mon appartement, dénué de tout cachet selon certains, mais surtout en passe de se transformer en camp de romanos.
J'arrive boulevard Raspail, pile poil où la manif des postiers doit passer. Il y a des CRSSS partout. Les rues adjacentes sont bouclées.
Nos compagnons républicains de sécurité sont sur le qui-vive, manifestement prêts à donner l'assaut...
Mais à donner l'assaut sur quoi, sur QUI ?
La tête de la manif et la fin sont arrivées presque en même temps...A vue de nez, il doit y avoir 350 péquins, frigorifiés par les averses de neige fondue.
Je me dis qu'ils ont du lâcher le truc en route pour aller faire les soldes (il fait meilleur dans les boutiques) sans aucu-aucune hésitation.
Ils auraient eu tort de s'en priver : se faire plaisir avant de se faire virer. Telle sera leur nouvelle devise*.



*La mienne aussi personnellement. En sachant qu'on prend son plaisir là où l'on veut, et à défaut où l'on peut.









     Posté par Lydia M. le 17.1.05

Ni repris, ni échangé

Bribes de conversation entre une mère (moi en l'occurence, malgré mon indignité crasse) et son pitinenfant (Timinus, deux dents en moins, soit un total de 6 euros, en espèces exclusivement).

- Tu sais, moi, j'ai pas envie de changer de maman.
- Ca tombe bien, parce que moi, je n'ai spécialement envie de changer d'enfant !







     Posté par Lydia M. le 14.1.05

Mourir vos beaux yeux, belle Marquise, d'amour me font

Je crois qu'il est indispensable que je me procure ceci :



"Comment faut-il utiliser cette méthode ?
Rendre un homme fou d'amour : une méthode qui explique, étape par étape, comment transformer une rencontre agréable en une véritable histoire d'amour.
C'est à la femme d'en décider.
1. Cette méthode est la marche à suivre pour atteindre un objectif précis :
Rendre un homme fou d'amour.
Elle se présente sur une page unique en format hauteur - pour être aisément imprimable - et représente un volume de 5 à 6 pages A4.
2. Cette méthode est composée d'activités simples à réaliser pour atteindre l'objectif décrit. L'utilisateur doit donc suivre à la lettre les différentes étapes l'une après l'autre pour se rapprocher de l'objectif final.
3. Pour vérifier que l'utilisateur comprend bien les points les plus critiques de la méthode, des exercices pratiques et des exemples sont intégrés à chacune des étapes.
4. Pour être comprise et assimilée, cette méthode exige d'être lue une première fois en globalité (phase de découverte) puis une seconde fois dans le détail, en prenant le temps de faire les exercices décrits (phase de compréhension).

En fonction de votre rythme de travail, cette méthode vous demandera entre 30 minutes et une heure d'attention. Précision: Cette méthode n'est pas un cours théorique. Elle répond de manière concrête à un besoin précis. Elle explique les meilleurs trucs pour atteindre rapidement le résultat visé. "


Comme des mouches, ils vont tomber les mecs, c'est moi qui vous le dis.












Inflation galopante

Trois euros pour une dent qui tombe...
La petite souris a vachement augmenté ses tarifs...









Toujours plus haut ?

J'adore la tour Eiffel.
Non, sans blague, j'ai un faible pour cette fameuse "tour en fer", comme l'appellent souvent les enfants.
De jour comme de nuit, au lever du soleil, entre chien et loup, la tête dans les nuages ou enveloppée dans le brouillard, scintillante ou pas, elle me surprend encore et toujours.

Il n'y a rien à faire.
C'est comme ça.
Elle est omniprésente. Limite bienveillante...

Alors, si on m'invite à y monter, je ne refuse pas.
Surtout comme hier, pour y retrouver des amis et que le champagne coule à flots*...

(Je serais toutefois moins catégorique sur le moment où d'aucuns m'ont obligée à chausser des patins à glace. Car je crois, et ce sera ma phrase du jour, que : le patin, je préfère en rouler que d'en faire).

Le premier qui me demande de l'épouser là-bas, pour sûr je lui dis oui (et j'accepte même de remettre des patins, mais pas de lui en rouler, en en ayant aux pieds. Et puis, après tout, je peux toujours le dire si j'en ai envie, la probabilité que ça m'arrive étant assez faible, voire nulle).



*Et j'avais avec moi ma jumelle qui picole, et elle n'a vraiment pas été raisonnable du tout. Je lui ai dit de moins boire, mais elle ne m'a pas écoutée.











     Posté par Lydia M. le 13.1.05

La pensée profonde d'hier et le constat du jour

1/La pensée profonde d'hier
L'herbe, il vaut mieux la fumer que se rouler dedans, car ça fait des traces vertes sur les habits.

2/ Le constat du jour
Je ressemble à une boîte de Mon chéri (plus qu'un simple chocolat). En moins carré. Mais tout aussi rouge et marron.

Comme quoi, moi aussi, j'ai des pensées.











     Posté par Lydia M. le 12.1.05

Pense-bête

Un truc important à noter : demain, c'est JEUDI.

Ne pas oublier d'aller travailler le lendemain, vendredi, adoncques.

Ce serait balot de se gourer quand même.









Passage de pommade

Bon, je sais, ce site est formidable et gagnerait à être connu (d'ailleurs, je lance ici un appel à tous ceux qui aimeraient en faire quelque chose, du genre...euh, du genre, enfin, passons...).

Mais de là à venir le consulter à 4h45 du matin, il faut vraiment être fan...

Ou insomniaque.
Ou les deux.

N'hésitez pas à m'en parler (pas de vos insomnies, car ce n'est pas ma spécialité, moi, mon truc, c'est, entre autres, plutôt la cuisine-option dessert, les futilités et les plans foireux avec les hommes, quand l'occasion se présente...).









     Posté par Lydia M. le 9.1.05

Un grand moment de solitude

Vendredi soir, un taxi m'emporte, avançant péniblement dans les rues du 16è...Je m'énerve, le chauffeur insulte tout le monde..."Vous pensez qu'on y sera bientôt ?"....
Ca klaxonne de tous les côtés...Je me mets à implorer une hypothétique force surnaturelle : pourvu qu'il n'ait rien, pourvu qu'il n'ait rien, pourvu qu'il n'ait rien...
"Il", c'est mon petit gars de 6 ans, que son père a emmené précipitamment aux urgences..."Il hurlait à force d'avoir mal à la tête, a gerbé ses tripes, a perdu connaissance...".

Le temps s'arrête, plus rien d'autre ne compte...RIEN...sauf les voitures qui s'agglutinent toutes au même endroit et m'empêchent d'arriver plus vite à l'hôpital...

Dans ma tête, c'est l'explosion, j'envisage le pire...on m'a parlé d'un scanner cérébral...
Je retiens mes larmes, et me mets à me demander ce que serait alors ma vie si...
Puis je me resaisis, m'interdisant ces pensées morbides.
Je redeviens raisonnable...
J'arrive à l'hôpital...
Je vois enfin le petit gars, perfusé, le rose aux joues, qui m'accueille de son traditionnel "J'ai faim maman"...
Ouf...Je respire, car je vois, je SENS qu'il va bien...
Il restera une nuit en observation, et si les douleurs persistent au réveil, on lui fait des examens complémentaires...
Retour chez moi : mes fidèles amis sont avec moi, ma famille...
Mais, nom de dieu, qu'elle fut longue et solitaire cette nuit...
Comme j'aurais aimé la passer dans des bras rassurants...

Putain d'année qui commence.

Heureusement, tout est bien qui finit bien.
Et c'est là l'essentiel.









     Posté par Lydia M. le 6.1.05

Souvenir, souvenir : un hit de mes jeunes années (qui ne courent pas dans la montagne)

Pour des tas de raisons, cette très agaçante chanson, qui date de 1981 (la préhistoire pour certains...) me rappelle plein de trucs, bons dans l'ensemble, et moins bons également.

Voilà un texte qui colle parfaitement à la personnalité de certains de mes amants, plus ou moins récents.


Confidences pour confidences

Je me fous, fous de vous
Vous m'aimez, mais pas moi
Moi, je vous... vous l'aimez
Confidences pour confidences
C'est moi que j'aime à travers vous
Si vous voulez les caresses
Restez pas, pas chez moi
Moi j'aime sans sentiment
Confidences pour confidences
C'est moi que j'aime à travers vous

Mais aimez-moi à genoux
J'en suis fou
Mais de vous à moi je vous avoue
Que je peux vivre sans vous
Aimez-moi à genoux
J'en suis fou
Et si ça vous fait peur
Dites-vous que sans moi
Vous n'êtes rien du tout
Tout pour rien, rien pour vous
Vous m'aimez, mais je joue
J'oublie tout
Confidences pour confidences
C'est toujours moi
Que j'aime à travers vous

Vous pleurez, révoltée, taisez-vous
Vous m'aimez, mais pas moi
Moi je vous veux pour moi
Et pas pour vous
Vous je m'en fous, tant pis pour vous
Aimez-moi à genoux,
J'en suis fou
Et n'oubliez jamais que je joue
Contre vous, vous pour moi
Sans vous, vous l'avez voulu
Tant pis pour vous
Aimez-moi
Mais confidence pour confidence
C'est moi que j'aime à travers vous

Je me fous, fous de vous
Vous m'aimez, mais pas moi
Moi, je vous... vous l'aimez
Confidences pour confidences
C'est moi que j'aime à travers vous
Si vous voulez les caresses
Restez pas, pas chez moi
Moi j'aime sans sentiment
Confidences pour confidences,
C'est moi que j'aime à travers vous











Arrêtez vos salades

Les tirs de roquette, en général ça fait des gros trous : ça fait donc très très mal, ça mutile. Ca peut même carrément tuer, souvent des enfants, mais pas seulement.
Les roquettes, ça tombe dans plein d'endroits sympathiques de notre planète, Gaza, Irak, Sud-Liban et autres théâtres divers d'opérations armées en tout genre...

Les roquettes, mieux vaut en faire tomber des feuilles sur les sols carrelés de nos cuisines : ça fait juste des traces vertes.

Une bagatelle donc.











     Posté par Lydia M. le 5.1.05

Toujours au top de la cohérence...

...j'hésitais entre un wok et une pierrade (mais qui ne fasse pas appareil à raclette à cause que j'en ai déjà un), et finalement, mon choix s'est porté sur un RICE COOKER (pour faire du riz comme chez les traiteurs sinoisaveclasauceaussi).

2005, je le sens, va être MON année.
C'est trop bien parti.













Ô temps ! ne suspends pas ton vol...

En ce chaotique début d'année 2005, je viens de me faire la remarque totalement dérisoire que, au bout du compte, on finit toujours par réaliser et comprendre pourquoi les ex sont effectivement des ex.

Ca prend plus ou moins de temps.









     Posté par Lydia M. le 3.1.05

Postulat

"A ton âge maintenant, tu ne pourras plus trouver que des hommes de 45 ans : plus jeune, c'est impossible". (Ma mère)

C'est fou comme les mères peuvent aller chercher au fond d'elles-mêmes les mots justes, les mots qui rassurent, pile poil.
Et pourtant, j'ai échappé à ceci : "A ton âge, tu risques d'avoir du mal à retrouver quelqu'un, enfin, quand même, on ne sait jamais." Ca c'est probablement pour l'année prochaine...

Heureusement que j'ai encore quelques vrais amis (sans les doigts), sinon, il y aurait quasi de quoi se jeter sous un train (ou un tsunami si on préfère mourir mouillé).








     Posté par Lydia M. le 2.1.05

Happy new year !!!



Un petit souvenir de mon périple catalan pour commencer cette nouvelle année...