Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 28.12.04

Tous les chemins mènent à...




Allez, c'est là que je vais.

Fermeture provisoire, à l'année prochaine* !

Je vous embrasse.

*2005 ne sera pas l'année de l'amitié digitale, en ce qui me concerne.









     Posté par Lydia M. le 27.12.04

Silence

Mes petits malheurs ne sont rien à côté de ces cataclysmes en chaîne, la terre qui tremble et qui s'ouvre, les vagues de 10 mètres qui emportent tout sur leur passage, qui laissent ensuite des morts dans les arbres, les enfants de ceux qui n'avaient déjà pas grand chose noyés dans la boue...
Alors, je n'ai qu'une seule chose à faire.
Me taire.







     Posté par Lydia M. le 23.12.04

La petite minute de culture...

J'aime bien ça : "Les hommes sont toujours sincères. Ils changent de sincérité, voilà tout." (Tristan Bernard)

Et j'aime bien aussi ça : "La sincérité absolue ne peut conduire qu'à l'immobilité ou à la folie." (Marcel Jouhandeau)

Je dois avouer qu'entre les deux, mon coeur balance.


Je les dédie à E.(pour la dernière fois, malgré en effet le petit fumet biblique de la chose).









Love, love, love

Oh, j'aimerais que quelqu'un
M'ouvre grand ses bras
Que je m'y fiche,
Que je m'y loge,
Que je m'y niche,
Que l'on m'ouvre enfin,
Que je m'y love, love, love

La chair triste m'indiffère,
Ces jeux-là ne me disent guère
Mais nous pourrions causer un brin,
Histoire de, si tu le veux bien.

Oh, j'aimerais que quelqu'un
M'ouvre grand ses bras
Que je m'y fiche,
Que je m'y loge,
Que je m'y niche,
Que l'on m'ouvre enfin,
Que je m'y love, love, love

Les parties d'ça-va-ça-vient,
La bagatelle,
ne me disent plus rien,
Mais nous pourrions causer un brin,
Histoire de, si tu le veux bien.

Oh, j'aimerais que quelqu'un
M'ouvre grand ses bras
Que je m'y fiche,
Que je m'y loge,
Que je m'y niche,
Que l'on m'ouvre enfin,
Que je m'y love, love, love
C'est ce qui me manque vraiment,
Se languit-elle…


(C'est de Tété, pas de moi hein...)








     Posté par Lydia M. le 22.12.04

Dououououououououcement

S'il vous plaît, on évite de me parler trop vite, et trop fort.
Voire on évite carrément de me parler, sauf pour que je ne m'endorme pas.


Too much phytothérapie hier soir...(Même mon banquier m'a fait remarquer que j'avais une sale tronche).







     Posté par Lydia M. le 21.12.04

Nature morte et concrétions sur toiles cirées



Nature morte : farandole de légumes





Concrétion : rêve glacé (et accessoirement gerbant)



(Dans un prochain post : plus d'infos sur le distributeur exclusif de ces oeuvres gatronomiques majeures et très contemporaines).












     Posté par Lydia M. le 20.12.04

Il suffit juste que j'arrive à m'en convaincre

(et puis, je l'attends toujours mon ange gardien !!)


Buffalo gals, won't you come out tonight, won't you come out tonight,
Buffalo gals, won't you come out tonight, and we'll dance by the light of the moon...










     Posté par Lydia M. le 17.12.04

La chanson du jour




Ouais, enfin, la pluie, c'est sympa comme ça...sinon, c'est rien que de l'eau (froide) qui mouille !








     Posté par Lydia M. le 14.12.04

Les monologues du vacherin*
ou
les confessions d'une peau de vache (c'est moi en principe)

Après le cochon, puis le lapin, c'est en ce moment la vache, ou plus exactement l'un de ses sous-produits, le lait, fermenté et non pasteurisé qui occupe une place de choix dans ma vie (et aussi la chèvre et la brebis).
Je vous entends ricaner, bande d'enfoirés sans coeur, "Ah, ben si c'est tout ce qui lui reste à la pôvfille, elle est foutue !".

D'abord, c'est pas tout, et ensuite, euh, c'est pas tout.

J'ai commis l'irréparable en oubliant dans un réfrigérateur de l'Est parisien, outre une portion de riz au lait à la vanille bourbon de Tahiti dans un Tupperware sur lequel j'ai tiré un trait, un délicieux Chaource, glané au marché de Troyes, en compagnie de cette personne qui me gouroutise (car je suis inconsistante, faible et lâche). Il était tellement bon, gras juste comme il fallait, et parfaitement affiné, donc pas trop frais, et pas trop sec (je parle du fromage, hein, pas du reste. Sur le reste, qui se reconnaîtra certainement, je m'abstiens de tout commentaire).
Depuis, j'ai multiplié les expériences extrêmes, en faisant l'acquisition, entre autres, de Saint-Félicien et de Vacherin, les deux se dégustant à la petite cuiller. Une récente soirée, celle où nous évoquâmes la convivialité avec les doigts, nous donna l'occasion, à mes camarades (qui m'ont honteusement entraîné dans la beuverie, une personne aussi sobre et intègre que moi, une respectable mère de famille du 15ème arrondissement) et à moi, de faire fondre successivement dans nos crêpes toutes sortes de fromages à pâte pressée cuite et non cuite, les recouvrant ensuite éventuellement d'une couche de confit de noisettes artisanal, voire de miel. Un peu plus tard, au cours de l'une de nos désormais traditionnelles conférences gastronomiques du dimanche soir, nous plongeâmes avec délectation des lamelles de gorgonzola et de tomme de chèvre dans de la soupe maison...
Alors, OUI, c'est vrai, je l'avoue, je suis dépendante, bonne pour la cure de désintoxication, l'unité d'addiction : les fromages affinés, je ne peux plus m'en passer...
Un genre d'histoire d'amour en somme...qui donne mauvaise haleine, mais ON S'EN COGNE GRAVE !
Ce midi, j'ai déjeuné d'une tartine au Saint-Marcellin fondu : le monsieur qui me l'a confectionnée, un jeune gars fort bien fait (trop drôle, hein ? Bien fait...) de sa personne m'emballant mon bien dans une boîte surdimensionnée, à peu près de la taille d'un accordéon, me dit : "Voilà une jolie tartine, pour une ravissante princesse !". Waouh, c'est super sympa (enfin, c'est un commerçant, donc je relativise) ! Toujours au top dans la réplique pourrie, j'y réponds : "Ben, c'est vous qui le dites, je vous laisse seul responsable de vos propos...une princesse, peut-être, mais une princesse qui mange du Saint-Marcellin !".

Voilà, la princesse qui bouffe du Saint-Marcellin, ben c'est juste moi.
Et c'est TROP la classe.

Mon objectif est d'arriver à dire, sans me marrer au prochain homoncule qui croisera mon chemin, "Viens chez moi goûter mon Trou du cru !".




*Comme promis.
Oui, je sais, je suis logorrhéique aujourd'hui.










Le conseil du jour*
(car je suis bien placée pour en donner)

Mesdames, évitez de coucher avec un homme qui vous trouve très intelligente, qui n'hésite pas à vous le dire, et qui avoue même vous trouver plus intelligente que lui, si brillant fut-il.
N'aggravez pas votre cas en tombant amoureuse.

Ca fait peur.

Et ça n'avance à rien, manifestement.

Cela étant, coucher avec un gars qui vous trouve gourdasse, si brillant fut-il, c'est pas terrible non plus. Ca craint dans un sens.


*Tous moyens de paiement acceptés, sauf les tickets resto, j'en ai plein plein.









Narcissisme











     Posté par Lydia M. le 13.12.04

Spleen (et pas idéal) du lundi

En attendant d'écrire mes fameux "Monologues du vacherin", dont je n'ai encore strictement aucune idée du contenu, mais qui s'apparenteront probablement à des digressions laitières et fromagères, je suis strictement incapable en ce morne et glacial lundi matin d'avoir une pensée cohérente et positive...

La semaine précédente, fort arrosée, m'a seulement permis de conclure que l'irish coffee, certes, ça réchauffe là où c'que ça passe, mais c'est très indigeste.
Et comme ça reste composé à 90% de café, ça empêche de dormir.
En dehors de ces constats éthyliques et digestifs, qui, soyons honnêtes pour une fois, n'intéressent à peu près que moi, je me suis aussi aperçue que l'amitié entre C. et moi est jalonnée par les occasions manquées.
D'où probablement le fait que nous soyons encore amis aujourd'hui (je ne reviendrai pas sur l'amitié hommes-femmes, les fucking friends, etc).
Donc, pas d'histoire de doigts entre nous.
Rien. Nada. Ceinture.
Cette non concrétisation, volontaire ou fruit du hasard, mais quand même assez ambiguë, nous permet lorsque nous nous voyons, pas souvent car il habite loin, de retrouver instantanément une proximité et une complicité que je n'aurai peut-être jamais avec un amant, si j'en ai à nouveau un un jour (enfin plus d'un jour je veux dire).
Sinon, et même si ça n'a strictement rien à voir, mais je suis ici chez moi, alors je dis ce que je veux (parce que je le vaux bien ?), il faut aussi se rendre à l'évidence : la campagne, c'est dangereux.
On peut y croiser le chemin de tordus, qui adorent occire les jeunes femmes, puis les faire à moitié carboniser, avant de les balancer dans des puisards, et enfin se louer des pelleteuses pour éliminer les indices gênants.
Et aussi, il ne faut pas prendre d'auto-stoppeurs, car on peut embarquer Francis Heaulme, qui ne supporte pas d'entendre les gens crier et les tape à mort. Ensuite, il regrette un peu...
Ce qui me rassure au fond, c'est que je n'ai ni maison de campagne, ni voiture...
Enfin, nous sommes bien en décembre, il fait froid, il y a des gens qui dorment dehors sur des bouches d'aération, et comme tous les ans, je me sens plus que jamais immobile, comme statufiée au milieu de cette frénétique course aux cadeaux...
Et, je ne fais que regarder la foule qui s'agite...
Et je finis, comme si souvent, par me demander ce que je fous là...
Alors, pour aller parfaitement avec la nostalgie de ce lundi, une petite chanson* de circonstance, rien que pour vous :
Silver light
Silver light
From a silver moon
An empty bed
An open book
And from the window
I watch
Passers by
Pass by
Comment ça, je vous fous le bourdon ?
*Piers Faccini, "Leave no trace", c'est le nom de l'album...et c'est...euh...de la musique comme j'aime, en tout cas en ce moment...
Et je suis prête à l'épouser s'il me le demande gentiment...D'ailleurs si quelqu'un avait son numéro de téléphone, je lui en parlerais directement...




Joli, mais burp, beurk, enfin à consommer avec modération...
Enfin, c'est sûrement parce que j'ai perdu l'habitude de boire de l'alcool...








     Posté par Lydia M. le 9.12.04

Décidément, nous n'avons pas les mêmes valeurs

BERLIN (Reuters) - Les Allemands préfèrent l'argent au sexe, selon un sondage du mensuel Playboy à paraître mercredi.
Interrogés sur leur préférence entre gagner plus d'argent l'an prochain, faire plus l'amour ou avoir plus de congés, 62% répondent gagner plus, 36% préférant avoir plus de temps libre, et seulement 6% plus de sexe.


Finalement, on peut leur reprocher des tas de choses à nos amis germaniques, et notamment de ne pas être toujours super fun, mais ils sont cohérents : pour gagner plus de pognon, en général, il faut travailler plus, ce qui fait qu'on a moins de temps libre et conséquemment encore moins de temps pour baiser (à moins de le faire sur son lieu de travail, ce que la morale réprouve, et la morale et moi, on est copines comme cochon).







     Posté par Lydia M. le 8.12.04

Amicalement vôtre

Rouler des pelles passionnées,
Embrasser dans la nuque,
Mettre sa main dans un soutif,
Peloter allègrement et sans vergogne,
Voire, éventuellement, coucher, si c'est possible…

Tout ça pourrait donc se faire de manière totalement amicale, ou comme un préalable à une relation, elle-même amicale, ou qui finira de toute façon par le devenir, hein, et parce que l’amitié c’est important…

Pourquoi pas aussi les rapports buccaux et la sodomie pendant qu’on y est ?

Décidément, l’amitié ça peut être un truc vachement intime…et…euh…profond…

Comme quoi vraiment je n’ai rien compris…
Mais ça doit venir de moi, forcément, enfin, c'est fou ce que certains hommes sont prêts à faire, juste par amitié, sans plus…

J’ai du rater un épisode important à un moment.

Mais lequel ?







     Posté par Lydia M. le 7.12.04

Exhibitionnisme...

Eh, vous voulez que je vous montre un truc ?


Ouais ?




Et ben visez-moi un peu ça !!!



Chouette hein ? C'est dans mon bureau...Avouez que ça vous fait rêver...







     Posté par Lydia M. le 6.12.04

La chanson du lundi qui démarre sur les chapeaux de roue

Quelque chose ou quelqu'un
Même lorsque l'on croit
Que l'on n'attend plus rien
Nous attendons toujours
Quelque chose ou quelqu'un
On attend que la vie nous l'apporte
Nous l'apporte aujourd'hui ou demain

Même lorsque l'on sait
Que la nuit est venue
On espère toujours
Le passant inconnu
Qui viendrait à heurter notre porte
Comme le voyageur attendu

Il y a toujours une place vide
Un amour à prendre, un cœur qui s'ennuie
Il suffit d'un mot d'un geste timide
Et voilà nos mains soudain réunies

Même lorsque l'on croit
Que l'on n'attend plus rien
Quand les volets sont clos
Quand le feu s'est éteint
Nous attendons toujours quelque chose
On attend quelque chose ou quelqu'un
Quand on croit que plus rien
Ne peut nous arriver

Quand on croit le bonheur
Impossible à trouver
On continue quand-même à attendre
On continue quand-même à rêver


C'est pas joli ça ?
C'est Charles Aznavour, et je ne le dédie à personne, pour une fois, à part à moi.









     Posté par Lydia M. le 2.12.04

L'indiscrète

Faites gaffe, hein, parce que je VOUS surveille moi...
Ben oui !
Je sais parfaitement QUI vient sur mon site, à quelle heure, et combien de temps vous y restez...et combien de fois par jour...
Et d'ailleurs, je me demande pourquoi certains y reviennent aussi souvent dans la même journée (dans un sens, ça me fait plaisir, mais ça m'interpelle quand même un peu au niveau du vécu, sans toutefois m'inquiéter)...


Big mother is watching you !










     Posté par Lydia M. le 1.12.04

Les conseils bien avisés d'un très bon camarade de jeu*
(*et accessoirement de libations aussi)

XX : ouais, mais tu vois, le plus dur dans l'histoire, c'est de me faire à l'idée que je ne le reverrai pas. Je l'avais un peu dans la peau quand même...
XY : et ben justement, laisse passer un peu de temps, et garde le comme ami.
XX : comme ami ? Mais c'était pas ça que je voulais moi !
XY : mais si, tu le gardes comme ami, pour coucher avec de temps en temps.


(Ah, c'est donc ça l'amitié ?)