Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 31.5.05

Le jeu des chaises musicales : suite et fin

En attendant l'ultime (?) remaniement ministériel qui verra sans nul doute le retour absurde de gens qu'on avait cru écartés du pouvoir (pourquoi pas Aillagon à la culture pour refaire une tentative de réforme du régime de l'indemnisation des intermittents !! Et peut-être que Bernard Pons est dispo en ce moment ? Ou Robert Pandraud ?), les télés nous donnent à voir des choses étonnantes.
Pendant de longues secondes, elles nous montrent ainsi la porte vitrée obstinément fermée du palais présidentiel, puis s'extasient sur le fait qu'un huissier vienne l'ouvrir, ce qui signifie, et oui, que quelqu'un va entrer ou sortir.
Elles filment ensuite l'arrivée de Villepin. Puis t'annoncent avec enthousiasme qu'il s'en va : on le voit donc descendre les marches, monter dans sa bagnole...et puis se barrer, tiens, tout simplement.
Je ne causerai pas oui ou non. D'autres l'ont fait abondamment, et puis, maintenant, c'est trop tard. (et au fait, je voulais vous dire, camarades, que oui, c'est indéniable, nous vivons dans un monde furieusement capitaliste, qu'il va être difficile de revenir en arrière, constitution européenne ou pas, en abolissant la propriété privée et en nationalisant tout, et que, quitte à se faire enfler par le grand capital, mieux vaut avoir un peu de vaseline à portée de main, et accessoirement, manger bio, car c'est meilleur pour la santé, même si ça n'a rien à voir)
En revanche, je remercierai ceux qui ont voté non, car au moins, grâce à eux, enfin, un beau mec devient Prem's ministre.

Et ça, c'est quand même super important.
Et ça peut se résumer par : à poil Villepin !

A POIIIIIIILLLLLLLL !!!
(nan pasque Raffarin, c'était pas ça quand même)











     Posté par Lydia M. le 27.5.05

The travelling abroad Mme Messante is back

Ben oui quoi.
J'étais pas là.
J'étais en déplacement.
A Vienne.
Pas Vienne dans l'Isère (je rectifie car dans une version précédente, j'avais eu l'outrecuidance de situer Vienne dans la Drôme, provoquant ainsi les foudres de ce monsieur) hein, Vienne en Autriche, là où vivent les naz...pardon, les autrichiens.
Je suis partie dimanche dernier aux aurores, avec (regrets et) moult bagages d'executive woman prêtés par cette personne-ci.

Plusieurs épreuves jalonnèrent ce périple de trois jours.

La 1ère épreuve pour mes nerfs a consisté à mentir comme une arracheuse de dents à la dame qui me demandait si je n'avais pas de pince à épiler dans mes bagages qui voyageaient en cabine.
La 2ème, à passer les deux heures de vol avec un collègue, sympathique et fort gentil au demeurant, mais majoritairement casse-couilles et parfois malodorant (et un peu sourd aussi).

Mais ce qui m'attendait ensuite était pire.
3è épreuve, et pas des moindres : la bouffe autrichienne.
Il semblerait que le régime alimentaire de ce peuple soit composé d'aliments adipeux, féculents, et chocolatés, le tout surmonté de crème fouettée ou roulé dans la chapelure.
Après le cocktail de bienvenue du dimanche soir, où mes collègues ont essayé de me faire bouffer d'immondes toasts au boudin, nous sommes allés au restau, où je commandais, pour faire couleur locale, une saucisse dite de Berne, sa moutarde à l'oignon et ses frites (c'était ça ou des lentilles avec des oeufs au plat par-dessus).
La saucisse de Berne, c'est une saucisse genre Francfort, emballée dans une couche de lard, et avec, intercalé entre le lard et la saucisse, du gruyère.
Ce n'est donc ni gras, ni salé.
Et trempé dans la moutarde à l'oignon, c'est encore meilleur.
Jusqu'au mercredi, la plupart des repas, pris pourtant à l'hôtel Hilton (because I worth it) fut un challenge difficile à relever.
Les gentils organisateurs du colloque qui justifiait cette expatriation provisoire dans ce pays tellement...accueillant, avaient pensé à tout : un repas typique dans une guinguette...
Une avalanche de charcutaille et d'escalopes panées, dans un décor genre la maison de Heidi, avec d'immenses gretchens (sans les macarons) aussi aimables que des kapos.
La seule parade que nous trouvâmes : picoler, encore et encore...
Autant dire que je n'ai pas été très digne...

La 4ème et dernière épreuve fut pour moi de faire une présentation devant 200 personnes, dont la plupart étaient supposées connaître beaucoup mieux que moi le sujet sur lequel je me suis exprimée. Un succès total : j'ai été meilleure là qu'au restaurant...(en même temps, c'était pas compliqué...).

Sinon, là-bas, j'ai vu, entre autres choses merveilleuses, ceci :


Le baiser, de Klimt

Et ça, et les oeuvres de Schiele, ça fait oublier pas mal de choses (y compris qu'on a l'estomac sens dessus dessous...). Ce qu'on pourrait grossièrement résumer par : le triomphe de l'art sur le lard.

(oui, je sais, ça craint, mais si tu es là ami lecteur, c'est que tu en veux encore. Donc, en voici en voilà !!).








     Posté par Lydia M. le 20.5.05

Autorassuration
La suite

Le texte précédent est aussi valable pour les SMS, et pour les messages laissés sur certaines boîtes vocales.
Du coup, des fois, j'ai un peu l'impression d'être Glenn Close (sauf que je ne tue pas de lapin).

Merde, c'est pas super rassurant comme truc.







     Posté par Lydia M. le 19.5.05

Autorassurage
(ou rassuration)
Parce qu'on est jamais aussi bien servi que par soi-même (enfin, pas pour tout, faudrait voir à pas abuser non plus)

Eh, mais c'est pas parce que certaines personnes à qui j'envoie des mails ne répondent pas qu'elles s'en foutent royal ou qu'elles n'ont pas envie de répondre !

P'têt bien qu'elles ne savent pas quoi répondre. En même temps c'est pas leur genre, à ces personnes, de ne pas savoir quoi répondre...

Ou alors, c'est juste par manque de temps, on va dire ça comme ça.

Et pi, même que des fois, les mails ça marche pas très bien, ça traîne en route, comme le facteur, et du coup, ça n'arrive pas tout de suite dans la boîte du destinataire.

On est d'accord non ?

J'ai pas raison là ?







     Posté par Lydia M. le 17.5.05

Mon lundi de Pentecôte

Hier, la question était sur toutes les lèvres : tu bosses ?
Ma boîte était fermée, tout le monde en RTT obligatoire, un genre de compromis, acceptable, dans le bordel ambiant. Egoïstement, j'ai envoyé le Timinus à l'école (ce contre les recommandations de la FCPE).
Mais j'avais des trucs à faire, et puis je suis allée le chercher à 16h30, avec un goûter de rêve, et assez proustien : un reste de très bonne baguette de chez Kayser, des mini-tablettes de chocolat Milka (celui qui est conditionné par la marmotte), une banane...

En sortant de ma salle de sport, où, une fois n'est pas coutume, j'allais sans cette personne, je décidais d'aller rendre visite à une très vieille dame, dans un hôpital du 16è.
Cette très vieille dame, de plus de 92 ans, est la cousine de ma grand-mère maternelle : c'est aussi l'une des rares encore en vie de cette génération-là...
Elle se retrouve là parce qu'elle ne peut plus vivre seule, devenue quasi-aveugle...
Cette femme, énergique, indépendante, fit un mariage d'amour avec un homme qui mourut pendant la guerre, puis vécut une longue histoire tumultueuse avec un italien, pilote de course automobile, contemporain de Fangio et de Enzo Ferrari.
Bavarde, curieuse, enjouée, coquette, voilà comment je la voyais...
Je crois que je préfère garder cette image là...plutôt que celle de cette femme recroquevillée, angoissée, perdue, qui attend juste que la mort vienne la cueillir, si possible dans son sommeil...
Cette attente prolongée, dans la quasi-obscurité, est un long supplice pour elle, qui a encore toute sa tête.
Loin d'être désorientée, la première chose qu'elle fit quand je m'annonçais, fut de me souhaiter un bon anniversaire.
Ma visite fut pour elle un vrai bonheur : j'ai pu l'aider à déjeuner, à amener sa cuiller dans sa bouche, à raccrocher convenablement le téléphone, lui parler de la famille, des enfants qui grandissent...Avant de partir, je l'ai installée sur son lit, mis sa robe de chambre sur ses pieds...
Et puis deux bises sur ses joues fripées et creusées...
Malgré moi, je lui ai dit à bientôt, parce qu'il fallait bien dire quelque chose en partant, et parce qu'un au revoir avait peut-être une connotation trop "définitive"...
Mais j'ai eu du mal à y croire...

La confrontation avec la vie qui se finit n'est pas une partie de plaisir, parce que, forcément, ça ramène à soi, avec son lot d'interrogations et d'angoisses sur sa propre fin et celle des proches...
Mais aussi, ça oblige à se remuer, à profiter de chaque minute qui passe, à vivre pleinement sa vie.
Si chaotique qu'elle soit.

Je le sais bien, tout ça est somme toute assez banal et pas d'une gaieté folle.
Mais ça va mieux en le disant...







     Posté par Lydia M. le 11.5.05

La confusion des sentiments ?

Bon, je n'irai pas par quatre chemins, ma vie affective c'est du portnawak. Mais, perspicace comme tu es, ami lecteur, tu avais dû t'en rendre compte tout seul comme un grand.

Du grand n'importe quoi.

Ce n'est pas désastreux, loin de là...
C'est juste parfois un rien...déroutant.
Des aventures, souvent agréables, qui se terminent parce qu'elles n'auraient peut-être même pas dû commencer.

Et puis, on ne sait pas vraiment comment ni pourquoi, une rencontre faite quelques mois plus tôt, sur le registre de l'amitié (sans les doigts), se teinte de tendresse, de sensualité, de désir et de plaisir partagés (avec les doigts). Impossible de ne pas se toucher, se caresser, s'embrasser dans tous les coins qui font du bien...Les corps s'attirent, et aucun des deux n'a envie de lutter contre, parce que hmmm, c'est si bon.
Alors, oui, se laisser aller tout simplement, puisqu'il n'y a rien d'autre à faire de mieux.

Juste au moment où je me disais qu'il fallait que je fasse une pause, pour respirer un peu, reprendre mes esprits (?).

La voilà, ma pause, celle qui "elle aussi, fait partie de la musique" (c'est Stefan Zweig qui le dit) ma parenthèse enchantée. Celle dont j'avais probablement tant besoin.

Et pour la suite, qui vivra verra.







     Posté par Lydia M. le 8.5.05

Les vécés étaient fermés de l'intérieur

(le 300è post sur un plateau d'argent)

Jusque samedi soir, je me demandais bien ce que j'allais pouvoir raconter de rigolo pour fêter, en toute simplicité, non pas mon anniversaire, qui approche à très grands pas (et ça fait chier, mais bon en même temps, on y peut rien, et ça veut dire que je suis vivante, alors que ça pourrait être pire !), mais le 300è post écrit sur ce modeste site.
J'aurais pu causer de la vésicule de Raffarin, de la finale de la Nouvelle Star, ou du référendum...Mais ma soirée de samedi, placée sous le signe de la gastronomie (et non des cochonneries), s'est terminée en vaste poilade.

Un moment d'anthologie, un vrai comme je les aime.

J'avais convié cette dame-là (qui sera au coeur de l'évènement) et ma voisine du 3è, pour un petit dîner entre gonzesses.

Ami lecteur, je te sens impatient, mais pour te faire un peu saliver, je te donne le menu détaillé : un tartare de saumon et de saint-jacques (arrosé d'une pitite vinaigrette à l'huile d'olive, au citron et à la ciboulette), suivi d'un tian de sardines et courgettes avec de la quinoa pilaf (et bio par dessus le marché, c'est d'un chic), et comme dessert, des gratins de framboises accompagnés d'un succulent gâteau de chez Pierre Hermé (très chic aussi)...le tout arrosé de deux très bonnes bouteilles de pinard, et suivi d'un stick aux herbes fortement dosé (pour digérer).
Alors qu'on avait atteint une sorte de plénitude, cette même dame décide d'aller faire un tour aux vécés, et là...c'est le drame...
[Ami lecteur, j'ouvre ici une parenthèse pour te signaler que la porte des toilettes chez moi est, comment dire, légèrement piégeuse...et comme j'ai coutume de le dire à mes invités : "surtout, surtout, ne ferme pas complètement la porte, car sinon, je devrais appeler les pompiers pour te faire désincarcérer !"...Ca fait marrer en général, mais la poignée de cette porte, achetée l'année dernière en même temps que ma taupe de balcon, n'est pas exactement le modèle qu'il faut pour cette porte, dont le système d'ouverture a déjà été un peu faussé il y a quelques années. Tu suis toujours camarade dubitatif ?].
Ma voisine et moi étions en train de nous extasier sur la voix de Madeleine Peyroux, quand j'entendis toquer quelque part dans l'appartement.
Et ce qui ne devait pas arriver arriva : Mme MD était enfermée dans mes cabinets, et ne pouvait pas en sortir !!!
La voisine et moi, on essaie d'abord de pousser de notre côté, tout en se gondolant comme des folles...Puis, je vais chercher mes tournevis pour démonter la poignée...
Rien à faire...
Ensuite, je me dis qu'avec ma carrure de nageuse est-allemande, je vais pouvoir défoncer la porte à coup d'épaules...Je prie alors Mme MD de monter sur la lunette (en ayant préalablement rabattu le couvercle !), parce que si ça se trouve, la porte va s'ouvrir très brutalement sous l'effet de ma puissante musculature.
Tu parles.
J'arrive juste à me faire mal à l'épaule.
La voisine, entre deux gondolages, donne des coups de pied.
Que dalle non plus.
Du coup on lui passe un peu de lecture sous la porte. Et on lui dit une connerie du genre : "tu as besoin de quelque chose ? Surtout, si tu as envie de pisser, dis-le nous !".
"T'inquiète pas", que je lui dis (en parlant fort), "on va te sortir de là !"
"T'es sûre ?" me demande la voisine en chuchotant.
"Ben non, j'y arriverai jamais", que je réponds, toujours en chuchotant.
"J'ai tout entendu", gueule MD, debout sur mes chiottes.
Je ré-essaie le tournevis, en pète deux, puis vais chercher des couteaux...
Toujours rien.
Ca fait 15 bonnes minutes qu'elle est coincée là-dedans.
Et c'est à ce moment que je dois me résoudre.
Ca y est, c'est (ENFIN) arrivé : je dois appeler les POMPIERS.
- Sapeurs-pompiers bonsoir !
- Bonsoir Monsieur, Mme Mésaventures, Paris 15è, voilà, je vous appelle parce que j'ai un souci chez moi. Quelqu'un est enfermé dans mes toilettes et ne peut en sortir !
- Il faut casser la porte, Madame !
- Oui, enfin, c'est difficile à casser une porte, vous voyez !
- Et d'abord, qui est enfermé dans les toilettes ?
- Une amie, grmmpfffhhhhihihihihihihi, excusez-moi !!
[Et là, à ce moment, j'entends des bruits dans le couloir, et la voisine qui hurle "Ouaiiiiiiiiis, ça y est !"]
Ah, on m'informe que ça y est ! S'cusez pour le dérangement, allez bonsoir Monsieur !

Et voilà, la dame a fini par sortir, telle Sidney Bristow ou McGiver, elle avait fouillé dans mon armoire et trouvé des lingettes déodorantes, pour faire comme dans les films, le coup de la carte de crédit.
Dommage, j'aurais bien aimé avoir les pompiers chez moi, cassant ma porte de chiottes à coups de hache, et gueulant, "ne vous inquiétez pas Madame, on va vous sortir de là !"

J'aurais même pris des photos.



C'était chez moi !!







     Posté par Lydia M. le 6.5.05

My life is just a mess

Pour preuve ami lecteur : à l'âge que j'ai (et ce sera encore pire bientôt), je bouffe des carambars (mous) devant la Nouvelle Star en pratiquant la phytothérapie (Sticks aux herbes...Du coup, j'ai trouvé tout ça très BLEU).

Du grand portnawak (en fait je n'ai rien à dire, mais ce post est le 299è. Donc la fois prochaine, ce sera le 300è. Il va falloir qu'il soit drôlement chiadé celui-là).







     Posté par Lydia M. le 3.5.05

Les bons comptes font les bons amis*


298 posts écrits ici-même, depuis la création de ce célébrissime site (mon compteur est bloqué à 219).

10 minutes passées à compter ces même posts (alors que j'ai des tas de trucs à faire, professionnels, j'entends of course).

115 euros de note de bar en partant du Club (ma jumelle qui picole a abusé quand même).

160 minutes de retard, qu'il avait le train du retour des vacances de l'amour (ou plutôt des buffets et de la bière à volonté).

4 heures de leçons de golf (moi aussi, j'ai fait du golfeu, nananèreu).

3 heures de sommeil cette nuit (C'est les machins amicaux, tout ça tout ça. Ca fait qu'on s'endort tard. Mais c'est pas moi, hein, c'est ma trumelle, celle qui s'envoie en l'air).

11 nuits avant mon anniversaire (j'aurai......ans cette année. Putain, quelle chierie).




* Sans les doigts