Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 28.4.03

Linda, voici Lydia. Lydia, voici Linda

Oui, j'ai bu un coup avec Linda un soir de la semaine dernière, mais, heureusement (ou malheureusement, je n'ai pas encore décidé), ce n'était pas la fameuse Linda de mon ex.
Non, c'en était une autre, enfin, je le suppose car sinon, ça veut dire qu'elle trompe mon ex ouvertement.
Celle-là avait un physique totalement seventies, avec une frange, les cheveux raides et le nez en trompette (avec des grandes narines), avec un regard très curieux à la fois perçant et vide.
Et, comble de l'horreur, elle s'est présentée comme étant passionnée de voitures, car fille de garagiste, et t'annonçant ça fièrement, du tac au tac.
Je n'ai rien contre les garagistes, à vrai dire, je m'en cogne royalement, mais si mon père était charcutier (il l'est un peu en quelque sorte), je ne sais pas si j'aurais une passion immodérée pour les cochons.
Il va sans dire qu'après cette fulgurante entre en matière, nous avions déjà épuisé tous les sujets de conversation possibles.

Ah, Linda.


Finalement, on en connaît plein des Linda, et il y en même des très célèbres ! Décidément, mon ex sait y faire avec les femmes !!!












     Posté par Lydia M. le 24.4.03

Aussi cons, mais ailleurs

J'ai eu l'absurde espoir quelques instants, mais pas très longtemps, que mes collègues auraient pu laisser une partie de leur lourde et encombrante connerie dans les anciens locaux tout décrépits du jouli travail.
Mais non, c'est tout pareil comme avant.
Cons ils étaient au Stalag 17, cons ils sont toujours (et encore plus) à l'ex-Stalag 17 (en plus, des mochetés pareilles dans un truc qui ressemble au Taj Mahal, ça jure).

Quant à moi, méchante j'étais, méchante je demeure.

Tout rentre dans l'ordre. Me voilà soulagée.







     Posté par Lydia M. le 15.4.03

Toutes les peurs+toutes les peurs+toutes les peurs pendant 9 semaines et demi ?


Allo...allo...allo ??? Rappelez-moi d'une cabine qui fonctionne !


J'ai récemment vu deux vrais nanars, qui méritent une analyse approfondie.

Le premier, c'était approximativement le jour où j'ai chopé ma pneumonie atypique chez les PaCa. Le titre c'est "La somme de toutes les peurs", d'après Tom Clancy, qui n'est pas connu pour faire dans la dentelle. Pourtant, le casting n'est pas dégueu a priori : Ben Affleck est plutôt bien fait de sa personne, et Morgan Freeman n'en est pas à son premier rôle de gars qui a la tête sur les épaules.
Petit résumé : des vilains néo-nazis récupèrent une vieille bombe nucléaire qui date de la guerre du Kipour et, comme ils n'ont rien à faire d'autre, font exploser une bombe chimique sur Grozny, au nom du gouvernement russe. Ils fomentent ensuite un très très méchant attentat contre la ville de Baltimore, pendant la finale du Superbowl.
Morgan Freeman est le directeur de la CIA, Bill Cabot (ouaf, ouaf !), et il engage l'excellent agent Jack Ryan (Ben Affleck), éminent (mais toutefois encore un peu jeune) spécialiste de la Russie, pour y voir un peu plus clair. Le pauvre Jack va ensuite passer son temps à essayer de prouver que le gouvernement russe n'y est pour rien et que ce sont bien des méchants terroristes qui sont à l'origine de ces explosions à gogo. Et voilà. Pendant les trois-quarts du film, Ben Affleck court (Ca tombe bien, car on voit ses pieds au début, et ils ont l'avantage d'être deux et fort gracieux), essaye de parler àce pauvre Bill, qui bien sûr, finira par mourir (en premier, car vous noterez que dans les films où des gens meurent, c'est toujours le noir ou le sherpa qui meurt d'aabord). Son portable ne marche pas très bien, ce qui est normal puisqu'une grosse bombe vient d'exploser à Baltimore. Il conduit en téléphonant puis téléphone en conduisant, ce qui est désormais sévèrement réprimé par la loi française, au milieu de trucs en flamme qui tombent. On notera également que sa petite amie, ravissante aussi (il n'allait quand même pas se taper un cageot), chirurgienne à l'hosto de Baltimore, touché de plein fouet par l'explosion nucléaire, s'en sort indemne, juste un peu décoiffée et avec du noir sur la figure. Bien évidemment, le beau Ben-Jack réussit àfaire passer son message et sauve la planète. Merci Jack et encore bravo !

Le second, c'était il y a quelques jours, sur Canal Jimmy et c'était "Neuf semaines et demi ". Aujourd'hui, je peux, j'ose même, avouer que je ne l'avais pas vu à sa sortie et que je ne le regrette pas ! Quelle daube en barre.
Pas la peine de résumer : c'est l'histoire d'un mec et d'une nana qui copulent, dans des lieux et des positions totalement improbables pendant neuf semaines et demi.
Festival de contre-jours, de friches industrielles, de ventilateurs et de stores vénitiens, on se croirait dans une pub pour Mon chéet/ou un film de Max Pécas (dans sa période érotique). La musique d'ambiance (du vrai piano d'ascenseur) est tellement forte qu'on entend pas les dialogues : en même temps, je suis convaincue que je n'ai rien perdu, et j'ai pu suivre tout jusqu'à la fin. Kim Basinger a l'air d'une grosse poupée en silicone, porte des combinettes et des porte-jarretelles sous ses jupes. Mickey Rourke est ridicule, il met la main devant les yeux quand elle se déshabille (c'est pas malin), et dispose d'un registre très varié d'expressions (environ deux). Ce qui a fait le succès du film, c'est la fameuse scène du frigo, où Mickey colle dans la bouche de Kim qui a les yeux clos, porte des chaussettes de tennis et un peignoir blanc, tout ce qui lui tombe sous la main. C'est tout juste si il ne lui fait pas boire du Monsieur Propre. On est supposé s'esclaffer à ce moment là et s'extasier sur l'audace de cette scène culinaire. J'ai juste constaté que Mme Kim était affublée d'une grosse langue, comme les bovins. L'autre scène culte, c'est le strip-tease, qui n'est vraiment qu'un déballage convenu mais qui a vraisemblablement permis à Joe Cocker de payer une cure de désintoxication. De temps en temps, nos tourtereaux se disputent, ce qui donne l'occasion à Mme Kim de hurler "Salaud, j'te déteste !" à Mickey, en lui tambourinant le poitrail.
Puis ils finissent par se séparer. Car toutes les bonnes choses ont une fin, et puis, comme on dit, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir.

De biens beaux films en effet.










     Posté par Lydia M. le 8.4.03

Tout de même, fait pas chaud pour un 15 août

C'est vrai, on se les gèle. Il n'y a qu'en Irak qu'il fait chaud en ce moment.

Je suis tellement d'abordée que j'ai l'impression d'être le 15 août.
Je m'emmerde tellement que je passe pas mal de temps à faire mon programme de travail : ça m'occupe (un peu).

Il est 10 heures, plus que 6 heures à tirer! 6 heures, c'est rien quand tu y penses : seulement 360 minutes, 21 600 secondes !

Une bagatelle !








     Posté par Lydia M. le 4.4.03

Miasmes

Ah ben non, je n'étais pas aux Caraïbes, j'étais malade. Mes meilleurs (et très attentionnés) amis ont même cru que j'avais chopé la vilaine pneumopathie qui tue, mais, pas de bol, je ne suis pas morte.
J'ai attrapé un immonde virus, que j'ai refilé à Timinus (je sais, je suis une sale mère indigne).
C'était génial, j'ai eu de la fièvre non stop pendant trois jours. Ca m'a pris en partant de chez le PaCa samedi soir, oui j'ai d'ailleurs vu un excellent film, une oeuvre absolument essentielle et majeure du 7ème art (j'en causera très prochainement).
Même pas eu le courage de regarder Motus, ni Pyramide, ni les Feux de l'amour, encore moins la guerre en direct live sur LCI. J'ai navigué entre le canapé et mon lit, en absorbant des litres de boissons chaudes diverses, qui avaient toutes un goût répugnant, le même exactement que celui que j'ai eu dans la bouche (beuark).
J'ai une espèce de toux caverneuse, j'aurais bien besoin d'un petit séjour en sanatorium, tel Hans Castorp dans la Montagne magique (je sais, ça vaut 5 centimes).

Malgré tout, j'ai courageusement repris le chemin du joli travail aujourd'hui, et rien que d'entendre la jolie voix de fausset du chef des gommes, tout de suite, je me suis sentie mieux.
Je le savais : un seul être vous manque et tout est dépeuplé.