Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 28.10.04

Les ingrédients d'un petit bonheur

Prenez les gros fauteuils de la salle Victor Hugo, à l'Assemblée nationale,
Choisissez un thème de colloque passionnant,
Ajoutez quelques orateurs, très âgés pour la plupart, experts les plus éminents de leur domaine,
Faites les parler quelques instants de leurs voix monocordes...
Jetez moi au milieu de tout ça,

Et vous obtenez : la plus reposante, la plus réconfortante des siestes post-déjeunatoires...
Miaou !







     Posté par Lydia M. le 26.10.04

Raisonnement

- Dis, maman, Tintin, c'est quoi ?
- Comment ça, c'est QUOI* ?
- Ben, c'est un enfant ?
- Ah non, c'est sûrement un très jeune homme...
- Moi je pense que c'est pas un monsieur en tout cas...
- Et pourquoi donc ?
- Pasque les monsieur, y zont des CRAVATES.



* Toujours gagner un peu de temps, en répondant par une question

(Bon, eh les gars, c'est noté ? Pour être un monsieur, un VRAI, en plus de votre paire de couilles - tiens, merde, c'est mal, j'ai dit couilles-, n'oubliez pas votre cravate).



En plus, dès fois, il se met en jupe, alors, évidemment, on ne sait plus trop quoi en penser







     Posté par Lydia M. le 25.10.04

En baisse


Mon moral est planqué là-dedans, et je n'arrive pas à l'en déloger...


Mais, comme on dit, je ne vais pas me laisser abattre, et pour reprendre à mon compte les métaphores chevalines de cette personne, qui fait fréquemment preuve d'esprit d'à propos : "le mieux, quand on tombe de cheval, c'est de se remettre en selle tout de suite".

Hue donc.









     Posté par Lydia M. le 24.10.04

Bonne poire et coeur d'artichaut

Ce midi, après mon jogging dominical, qui a d'ailleurs donné lieu à d'étonnantes confidences, je suis allée acheter quelques victuailles fraîches, histoire de ne pas mourir idiote (et contaminée).
J'ai fait l'acquisition de 6 poires, à un prix exorbitant, mais choisies avec amour par la dame, qui les a certainement vues grandir sur leur arbre...
A ce prix là, je me suis dit qu'il fallait leur donner un petit nom à chacune : je suis donc rentrée chez moi, avec dans un coquet sac en papier Martine, Jocelyne, Anne-Catherine, Antonine, Pauline et Léontine...
Quel déchirement...au moment de les éplucher, elles sont restées dignes, malgré l'intense douleur.
C'est quand je les ai plongées dans le vin bouillant aux épices et au miel, que mon coeur s'est brisé...
Adieu mes jolies...Je vous retrouve ce soir au dessert...

Je suis trop sentimentale moi, un vrai coeur d'artichaut...ça me perdra...





Bravo les filles, vous avez été courageuses...



(Je passe ici un message personnel : voilà ce que tu rates, entre autres...mais si tu ne tardes pas à m'appeler, il en restera probablement encore un peu...et je ne parle pas QUE des poires...).








     Posté par Lydia M. le 21.10.04

AU VOLEUR !!!!!!!!!!


Ma banque a été braquée : ON M'A PIQUE MON DECOUVERT* !!!!!





*Rendez moi ma facilité de caisse, vilain délinquant !







     Posté par Lydia M. le 20.10.04

Parlons un peu nichons
(histoire de détendre l'atmosphère)

Amis lecteurs, vous l'aurez compris, Dame nature, contrairement à cette personne m'a dotée d'appendices mammaires de taille extrêmement modeste (un petit 85B), mais en revanche a tout misé sur le fessier, pour faire de moi un genre de vénus callipyge.
Autrement dit, ça signifie en clair : gros derche et petits seins en ce qui me concerne.
Je ne reviendrais pas sur les avantages et inconvénients de l'un et des autres, dans différents domaines, tels que le sport, le sexe, etc...
Là n'est pas mon propos.

Non, je vais causer chiffons, car je sais que ça passionne tout le monde.
Evidemment, quand on est gaulée comme je le suis, il y a quelques vêtements à éviter : la jupe droite, et pire encore, la jupe droite en lainage, le cache-coeur, les machins drapés, les caleçons, les vestes trop courtes, et les pantalons taille basse...

En revanche, le hasard de mes achats compulsifs m'a conduit récemment à jeter mon dévolu sur un t-shirt, fort croquignolet au demeurant, qui a l'incroyable particularité, et même l'avantage, de me laisser croire que j'ai les seins comme des obus, un peu comme Wonder woman (enfin, j'exagère juste un peu, disons, les seins plus gros que ce qu'ils ne sont vraiment).

Je n'ai aucune explication rationnelle ou un tant soit peu intelligente à cet étrange phénomène.

Du coup, je ne peux que profiter de ce bonheur, certes fugace, mais si intense, que me procure le port de ce vêtement (et j'embrasse avec vigueur la styliste de chez Chattawak, grâce à qui je me sens une autre femme).









     Posté par Lydia M. le 19.10.04

Mes amis, mes amours, mes emmerdes...


- Ouais, mais ça, on ne le saura que le jour où on mourra...

- Et si tu meurs demain ?

- Ah non, pas demain, c'est pas possible : samedi au plus tôt, ça m'arrangerait. J'ai plein de trucs sympas de prévus d'ici là. Vendredi soir, par exemple : j'ai boudin-purée, et ça me ferait vraiment chier de louper ça.


Conversation entre XX et XX au restau taponais : un menu M, un menu 6, une carafe d'eau (et une fourchette car XX ne sait toujours pas manger avec des baguettes sans risquer de se crever un oeil).







     Posté par Lydia M. le 18.10.04

(Presque comme) chez Laurette
(Sur une musique de Michel Delpech)

C'était bien, c'était chouette,
Mais il va falloir que ça s'arrête*
Sinon, ça va trop me prendre la tête.


*Un jour ou l'autre.







     Posté par Lydia M. le 16.10.04

Je ne suis pas inquiète
Volet 2

Raindrops Keep Falling On My Head

Raindrops are falling on my head
and just like the guy who's feet are too big for his bed,
nothing seems to fit
those,
raindrops are falling on my head,they keep falling

so I just did me some talking to the sun,
and I said I didn't like the way he got things done,
sleeping on the job
those,
raindrops are falling on my head they keep falling

But there's one thing, I know
the blues they sent to meet me won't defeat me.
It won't be long 'till happiness steps up to greet me

Raindrops keep falling on my head
but that doesn't mean my eyes will soon be turning red.
Crying's not for me, cause
I'm never gonna stop the rain by complaining
because I'm free
nothing's worrying me

It won't be long till happiness steps up to greet me

Raindrops keep falling on my head
but that doesn't mean my eyes will soon be turning red
crying 's not for me
Cause I'm never gonna stop the rain by complaining
because I'm free
Nothing's worrying me










     Posté par Lydia M. le 15.10.04

Du partage des responsabilités, en attendant qu'un feu tricolore passe au rouge, rue Saint-Jacques
Scène un peu moins banale de lavie ordinaire, acte III

"XY : tu te souviens de la 1ère fois qu'on s'est embrassé ?
XX : ben oui, un soir de juillet, rue Saint-Jacques...
XY : j'ai rien pu faire, tu t'es jetée sur moi, j'aurais du me méfier.
XX : pardon ? MOI, je me suis jetée sur TOI ? Mais c'est TOI, au contraire qui m'a prise dans tes bras !
XY : d'accord, on va dire que c'est 50-50 !
XX : c'est ton dernier mot ?"









Souviens-toi, c'était un jeudi

Discussion un peu sérieuse entre un homme et une femme, sur des sentiments naissants, etc, etc...quelques verres dans le pif, une agréable tension érotique.

Jusqu'ici tout va bien...

Et soudain, tout bascule : avec Tom Jones en musique de fond, ils ont tout à coup l'impression d'être les protagonistes d'un roman-photo, ou d'un épisode d'un soap-opera.

Sans les poignées de porte dorées, les tapis en poils de chèvre, les épaulettes et le brushing.










     Posté par Lydia M. le 13.10.04

De la récurrence de certains soucis domestiques*

- Je mets plusieurs semaines pour changer les ampoules, surtout celle de la cuisine, qui pète tout le temps : j'ai vachement la flemme d'aller acheter l'ampoule adéquate, pourtant le magasin est juste en bas de chez moi, ensuite, c'est chiant, il faut prendre l'escabeau, et puis dévisser des trucs, etc. Du coup, on mange dans la semi-obscurité : c'est tamisé, quoi, très intime. C'est pareil pour les néons de la salle de bains. J'ai intérêt à vérifier mon maquillage à la lumière naturelle avant de sortir pour éviter toute mauvaise surprise.

- Je n'arrive pas à enlever des taches dégueus sur mon canapé : pourtant, j'ai une bombe spéciale pour les tissus d'ameublement, mais rien à faire, c'est incrusté, sédimenté, en voie de fossilisation (autant ne pas analyser de façon détaillée les différentes couches d'ailleurs).

- Je trouve encore qu'il serait dommage de renverser des trucs sur la moquette de mon séjour, qui est probablement d'origine (1975), et qui porte pourtant les stigmates d'un lâcher de fer à repasser bien chaud, ainsi que de tas d'autres substances solides, liquides, etc.

- Quand je sors mon appareil à raclette, il reste au moins 15 jours sur le balcon, parce que ça me fatigue de le ranger dans le buffet. Il faut sortir d'autres trucs qui sont normalement posés par dessus.

- Je n'ai toujours pas enregistré quel interrupteur allumait quelle lampe. Ca fait presque 8 ans pourtant, que j'habite cet appartement (qui n'est pas rue Sarrasate, et qui n'est pas très vieux, même si Timinus y vit seul avec sa maman, en l'occurence, moi, oui, moi, la vieille, qui a des petits tracas de petite vieille. Du reste, Timinus n'est pas un peu styliste, ni un peu décorateur, ni travelo, et je n'ai ni tortue, ni canari, ni chatte, à part...enfin, bref). Par ailleurs, je me suis aperçue seulement l'année dernière qu'on pouvait aimanter des trucs sur ma porte d'entrée.

- Pareil pour la gazinière : je dois regarder quel bouton correspond à quel feu. Sais toujours pas.

Probablement parce que je m'en tape complètement.


*Dédié à celui de mes lecteurs qui me trouve vieille, pour lui donner raison, et pas parce que je ne peux pas m'empêcher d'en faire des tonnes







     Posté par Lydia M. le 10.10.04

Considérations et/ou interrogations ménagères dominicales (douteuses pour la plupart)

- Je me demande VRAIMENT si la femme de ménage ne boit pas le liquide pour les vitres : je ne nettoie JAMAIS les fenêtres chez moi, et elle non plus (C'est interdit par le règlement intérieur). Et pourtant, le flacon est presque vide.

- Je trouve quelques similitudes entre le machin en métal pour nettoyer les casseroles et mes poils pubiens (enfin pas toujours, mais des fois, c'est quand même vachement rêche).

- J'ai plein de couteaux pointus (qui font peur...c'est idiot, je sais, mais j'ai un peu peur des couteaux) et j'utilise TOUJOURS le même pour couper les légumes.

- J'ai une affiche qui se décolle sans arrêt dans ma cuisine, et au lieu de remettre de la patafix neuve, je m'obstine à la recoller. Du coup, elle tombe une fois par jour (et je la remets).

- Je ne sais pas pourquoi j'ai attendu que ce ne soit plus la saison des tomates pour en farcir plein avec de la bonne viande de pot-au-feu, ce week-end.

- Eplucher des oignons me donne parfois une excellente raison pour pleurer, comme ça l'air de rien, toute seule dans ma cuisine.









     Posté par Lydia M. le 8.10.04

Avec la sauce aussi ?*


"Dans un monde où il n'y aurait qu'une seule langue, tout le reste disparaîtrait. Ce serait une catastrophe écologique."

Jacques Chirac, Hanoï, 7 octobre 2004.


*Private joke, en hommage à mon traiteur asiatique préféré. Celui où ils font les meilleurs rouleaux de printemps du 15è, voire de Paris, voire du monde entier.







     Posté par Lydia M. le 5.10.04

Scène banale de la vie ordinaire, acte II

- Et sinon...t'en penses quoi, de tout ça ?

- Ben, rien, je préfère éviter pour le moment.

- T'as raison, ça vaut peut-être mieux...

- Ouais.


Conversation entre XX et XX, et XX aussi









     Posté par Lydia M. le 4.10.04

Ta mère, les japonais, la guerre

"Putain d'enculé de ta race, ta mère, elle suçait des japonais pendant la guerre !".

Entendu ce soir au pied de mon immeuble.
C'est pas très 15 ème, quand même.

Et puis, c'est tout de même assez étrange quand on y pense.










Les vices cachés des plantes

Mon régime excessivement phytothérapique me joue des tours : samedi matin, après une longue soirée, plutôt, euh, riche en substances diverses, j'ouvre un oeil à 8h59.
Et là, panique à bord : ventrebleu, j'ai raté l'heure, je devais emmener Timinus à l'école, et il est presque 9 heures, merde, merde, c'est la cata !. Je hurle : "Timinus, Timinus, réveille-toi, vite on est super en retard".
Curieusement, je suis affalée sur mon lit, tout habillée, avec mon gilet, mes chaussures, mes clés dans la main...et Timinus ne répond pas.

Et pour cause.

Je l'ai DEJA emmené à l'école, une bonne demi-heure avant.












     Posté par Lydia M. le 1.10.04

No one I think is in my tree

La reprise de Strawberry fields par Ben Harper...
J'écoutais ça ce matin pendant mon court trajet de bus...avec la tour Eiffel en toile de fond (il y a pire comme décor).

Et je me suis mise à penser à toi, oui toi, qui n'es pas là en ce moment, parti très temporairement travailler quelque part dans le piémont italien...
Nos agendas chargés font que nous nous reverrons dans...ce qui me paraît être une éternité.

OK, tu me diras que tu m'avais prévenue.

OK, je savais donc à quoi m'en tenir.

But I miss you anyway.