Transport de matières dangereuses

C'est curieux, mais à chaque fois que je pars en vacances, je fais faire des tas de kilomètres à des gâteaux maison, confectionnés avec amour, et cuits, détail de la plus haute importance, dans un moule à cake.
Il semblerait que je sois devenue une spécialisté incontestable et incontestée des cakes de toute sorte, et de leur transport sur mes différents lieux de villégiature.
La dernière fois, c'était pour la 1ère édition des "Vacances de l'amour et de l'hystérie", où je fis faire plusieurs milliers de kilomètres à un succulent cake à l'orange et un non moins succulent fondant au chocolat (cuit également dans un moule oblong, pour des raisons pratiques, car avant d'avoir une maladie du cerveau, j'étais une femme très organisée, ce qui est moins vrai aujourd'hui, puisque j'arrive même à faire cramer des spaghettis...).
Cette fois, je me rends dans le Gévaudan affublée d'un pain d'épices (moins sexuel que le précédent). Rassurez-vous j'emporte aussi 53 sandwiches pour Timinus.

Et oui, les vacances de l'amour et de l'hystérie, ça commence demain.

Mes amitiés à Mesdames.







Ca fait drôlement envie, hein ?

Plaisir tout court

Et même pas la gueule de bois d'abord.


La personne concernée par cet assemblage incohérent de mots se reconnaîtra.
Je l'embrasse au passage.





Donc pas besoin de ce truc

Plaisir des yeux

Ce jogging nocturne hier avait des allures de feu d'artifice : tour Eiffel scintillante sur ciel tourmenté oscillant entre l'orangé et le gris orage...
Et ce lâcher de tops en plein Champ-de-Mars...Une kyrielle de gars musclés et bronzés, particulièrement alertes ma foi.

M'en fous, la prochaine fois, je prends mon appareil pour photographier les très beaux, euh strass, qui illuminent la dame de fer.

Parce que, comme on dit, il n'y a pas de mal à se faire du bien.
Et là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir.

Rencontre au sommet


Ils ont accepté de se parler, enfin !



Putain, il s'en passe de belles sur mon balcon...

Ca ne peut plus durer

"(...) - c'était maintenant : elle se lançait déjà dans sa fameuse diatribe :
Mais qu'est ce que vous avez, vous les hommes ? Pourquoi êtes vous collés à nous une minute, et complètement absents la minute suivante ? Pourquoi une femme ne peut-elle jamais savoir à quoi s'en tenir ?(...)"

C'était un petit, tout petit extrait de "Ca ne peut plus durer" de Jospeh Connolly.

Rien que du bonheur.

Et je ne vise personne en particulier bien sûr.

Certitude

Je crois que, à l'avenir, ça ne m'intéresse pas vraiment de partager le même homme avec d'autres femmes.
Pas l'intention de concourir pour conquérir.
J'aurais trop l'impression de faire partie du cheptel de poulettes de Greg le millionnaire : aucune envie de n'être qu'une parmi d'autres, et de laisser Monsieur faire son choix, non sans avoir au préalable testé la marchandise.

Merci de votre attention.

Euh, mais pourquoi je dis ça, moi, au fait ?