Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 27.1.06

Bestiaire virtuel

Alors, résumons.

Nous avons :
- Un lapin énergique,
- Un ours brun téméraire,
- Une abeille virevoltante,
- Quelques cochons libidineux,
- Quelques vaches un peu enragées,
- Un chien intrépide,
- Des dindes hystériques,
- Quelques chats fouettés sans raison.

Et il y en a là-dedans, qui ont intérêt à se calmer (mais je ne dirai pas lesquels, ouhlala, ça non alors).







     Posté par Lydia M. le 24.1.06

Ca se précise
(Moi aussi, bientôt avar Pésident)

Le changement de cravail s'approche à grands pas.
Curieusement, cette fois-ci, je n'aurai passé aucun entretien, ni envoyé aucune lettre faisant mon autopromotion, grâce à un parcours brillant dans des structures avec des noms à la con.
Et ben tu ne vas pas le croire ami lecteur, mais c'est que ça me déstabiliserait presque.
Même le rendez-vous avec mon futur Pésident n'aura pas lieu : dommage car cet entretien m'aurait permis d'avoir plus d'infos sur Poupi, son chienchien, qui s'est cassé une papatte en sautant dans le bateau de son beau-frère (du Pésident, hein, pas du chien), lequel bateau permet d'aller se promener dans les parcs à huîtres. Rien sur Poupi donc. Ni sur la chauve-souris qui a élu domicile dans la véranda.
Je n'aurais même pas à expliquer que, malgré mes origines douteuses, je n'ai rien à voir avec cette méchante Mlle Boulgour, qui a laissé un très mauvais souvenir dans la tête de mon futur Pésident. D'ailleurs je ne la connais même pas, même si, c'est bien connu, les gens de mon espèce sont tous cousins.
Même pas tout ça.
Bientôt, ami lecteur, des que j'aurais accompli les démarches nécessaires, je t'en dirai plus.
Et crois moi, ça va t'en boucher un sacré coin.







     Posté par Lydia M. le 23.1.06

Scientifiquement prouvé ?

CE lundi-ci, celui-là, paraît-il, aujourd'hui donc, serait particulièrement un lundi pourri.
(pour l'instant, je n'ai pas encore vu la différence avec les autres lundis ; mais je sais que ma vie professionnelle peut être à la hauteur de mes (des)espérances en matière de surprises merdiques...donc, je patiente, encore un petit peu...).

"Le lundi 23 janvier sera le jour le plus déprimant de l'année

BERNE - Le 23 janvier sera, selon les recherches d'un universitaire britannique, le jour le plus déprimant de l'année. Cliff Arnall, spécialiste de santé mentale à l'université de Cardiff, explique qu'il n'est pas arrivé à ces conclusions par hasard.
Il énumère six facteurs: les froideurs hivernales, le temps écoulé depuis Noël, le fait que l'on ait repris le travail, que les factures des fêtes se fassent sentir, que les résolutions de nouvel an battent de l'aile et que les perspectives de réjouissance soient maigres pour les semaines à venir.
Transcrits dans une formule mathématique complexe, ces six facteurs font ressortir le fait que le lundi le plus proche du 24 janvier est le jour le plus déprimant de l'année. Son enquête l'a mené à interroger plusieurs centaines de personnes.
Ses conclusions sont, dit-il, globalement valables pour la plupart des pays européens, le Canada et les Etats-Unis.
Valait-il mieux ne pas le savoir? Mauvais réflexe, explique M. Arnall, qui se veut un peu spécialiste du bonheur: en se rendant compte de ce qui se passe, on peut mieux s'adapter et lutter contre le spleen.
"J'encourage les gens à l'utiliser comme un tremplin pour procéder à des changements. Cela peut les y encourager".
Et pour aider à dépasser ce triste cap du 23 janvier, il a une bonne nouvelle à partager : selon sa même formule mathématique, le jour le plus heureux de l'année est le 23 juin. Il ne reste donc plus que 151 petits jours à attendre."

151 jours à attendre ?
Non mais oh ça va pas bien Cliff (tu te foutrais pas un peu de nos tronches par hasard ?) !!







     Posté par Lydia M. le 22.1.06

Mais putain, ça veut dire quoi, exactement ?

Ouais, bordel de merde, c'est vrai, ça commence à me les briser menu.
Pourquoi les choses ne peuvent elles pas aller bien en même temps.
Pourquoi y a toujours un truc qui cloche ?
Pourquoi je n'aurais pas droit à ce que tout colle dans ma vie personnelle ET professionnelle ?

Parce que là, au bureau, il semblerait bien qu'il y en ait un qui lâche la rampe, quelque chose de gratiné. M'emmerde à longueur de journée. Trop désagréable. Pas gentil. Va falloir me foutre la paix, monsieur.

Heureusement, que ailleurs dans ma vie, et bien, il y en a un autre, qui est là, et bien là.
Heureusement, des fois, je m'endors dans ses bras.
Entre autres choses merveilleusement agréables.
Du bonheur.
Encore.
Miaou.







     Posté par Lydia M. le 16.1.06

Moi y en a faire vroum-vroum
(et toi y en a ranger tes enfants dans ta case)
Mais merde alors, ils exagèrent ces enfants qui ne font pas attention en traversant la route devant chez eux, en pleine brousse.
C'est vrai putain quoi, ensuite ça gâche la fête.
J'ai quand même entendu un gars dire qu'il fallait aller expliquer aux parents qu'ils se devaient d'"empêcher leurs enfants de se jeter sous les roues des voitures", qui bien entendu roulent à 50 km/h dans les villages.
C'est connu, dans les rallies automobile, la vitesse moyenne est de 50 km/h, ça roule pépère, un train de sénateur, avec une pause toute les deux heures (comme sur l'autoroute) et étapes gastronomiques (ta mère).
Et encore, ça irait plus vite s'il n'y avait pas tous ces gens au bord de la route.
Ce qu'ils sont gênants ces autochtones, bordel.
D'autant qu'ils ne savent pas se tenir.
Qu'ils meurent juste de faim chez eux.
(et ben oui, je sais, je suis polémiquetamère, mais putain, ça me les brise ces rallies à la con qui passent par des pays pauvres, juste pour le fun, pour l'aventure et les jolis paysages...)







     Posté par Lydia M. le 11.1.06

Mon Noël chez H&M
Résumé des épisodes précédents : un soir de décembre, disons le 12 pour être parfaitement exacte, je voyais, à travers mes larmes, l'élu de mon coeur refermer la porte de chez moi...
Un autre jour de décembre, je prenais le train de banlieue pour rejoindre le 9-1,en compagnie de cette charmante jetlaggée, qui m'avait au tout dernier moment proposé l'asile réveillonnesque.
(Note ami lecteur, qu'habituellement, Noël, m'en cogne un peu, et pi je suis traditionnellement conviée chez Mme MDsamère, mais ce Noyel là je devais le passer avec le fameux élu susnommé, et que, conséquemment, je ne me voyais pas rester seule chez moi ce soir là, du fait aussi d'un forfait de dernière minute dans l'équipe de mes géniteursmamère...).
Donc, j'y étais chez les Lelapin, en vrai.
Ouaip, parfaitement, chez M. et Mme Lelapin, en personne.
Monsieur H. et Madame M. Lelapin.
H&M.
Même qu'ils sont très gentils.
Même que j'ai beaucoup bu, beaucoup mangé et beaucoup ricané.
Même que des fois, je crois que j'ai un peu vexé Mme Lelapin, qui, en toute objectivité, est quand même un rien, voire un poil, susceptible.
Même qu'on a beaucoup dit "dans ton cul".
Même qu'on a fait comme quand on avait 15 ans : on a causé avec la honkongaise jusqu'à pas d'heure (parce qu'on dormait dans le même lit. J'ai dit on dormait, hein, on a PAS couché).
Même aussi que j'ai eu des chouettes cadeaux.
Même que j'y ai appris les rudiments du langage Furby : en furby, effrayé et heureux, c'est pareil, le même mot. Même que Lelapinfille et moi, on s'est dit que le Furby, ben finalement l'est comme les hommes (heureux, mais ça fait peur en même temps).
Même que Mme Lelapin, elle a demandé à sa fille de faire un mascarpone glacé pour le dessert du lendemain : le seul hic, c'est qu'elle avait acheté du mascarpone au gorgonzola. Alors, je crois que des fois, y a eu un peu moquage, mais oh, rien de bien méchant.
Même aussi que Mme Lelapin elle a raconté comment elle s'est envoyé un colis à elle-même, alors que c'était un cadeau de naissance pour la fille d'une collègue. Mais elle s'est gourée, elle a mis sa propre adresse : et elle était super contente de recevoir un colis (mais l'écriture sur la boîte ressemblait vachement à la sienne, et pour cause !).
Même que j'ai oublié un très très joli briquet là-bas : un objet de toute beauté, en forme de tong. Et même que je ne vais pas demander à Mme Lelapin de me l'envoyer par la poste.
Et même que je remercie encore la demoiselle, et par truchement H&M.
Pour tout ça.
Et même qu'après, il s'en est passé des choses.
Du genre des portes qui s'ouvrent à nouveau.
Yo.







     Posté par Lydia M. le 4.1.06

Ah, oh, ah, hmmmmm, oui, c'est bon...

J'ai eu ça aujourd'hui :
















Et je confirme, c'est très bon (la vache) !







     Posté par Lydia M. le 1.1.06

La poule ou le neuf ?
(OK, je sais, c'est tout pourri, mais j'ai des circonstances atténuantes)

Hier soir, j'attendais cette personne-là pour qu'on se fasse un gueuleton digne de ce nom...
Et ben, même que j'avais le sourire aux lèvres.
Pas seulement parce que je savais qu'elle allait apporter des fromages qui tuent leur race.
Pas seulement parce que j'avais préparé une petite salade aux langoustines, asperges, pamplemousses (jaunes et roses) avec de la roquette (chlurrrrpp...).
Pas seulement, hein.

Il y avait d'autres raisons.

Il était 21 heures, et je me disais (pour autant que je m'en souvienne) : encore 3 heures avant minuit (à ce moment, je pouvais encore compter), et dans 3 heures, en plus du fait que je serai en toute vraisemblance bourrée (je ne me trompais pas, ma jumelle qui picole a été au top pour ce réveillon), dans 3 heures donc, je serai en train de rire sur cette année 2005 qui s'est finie avec force surprises, bonnes, mauvaises, très bonnes, le tout se succédant à la vitesse de (Guy) l'éclair.

Et puis, du neuf en 2006, il va y en avoir...
Du vrai neuf, et puis du nouveau sur du pas tout à fait neuf (enfin, bref, je me comprends à peu près et c'est l'essentiel).
Un nouveau patron, y a des chances, en 2006 (et là, faudra se tenir à carreau avec celui-là...), de nouvelles collègues de travail aussi, et d'autres nouveautés, forcément.

Rien ne se passe comme on l'avait prévu.
Comme quoi, ça ne sert à rien de prévoir.
La réalité court plus vite que nous et finit toujours par nous rattrapper.
Avec son lot de surprises qu'on se ramasse plus ou moins dans la tronche.
En ce qui me concerne, c'est parti sur les chapeaux de roue !!
En vous remerciant de votre attention.
Et en vous souhaitant tout un tas de bonnes choses, les meilleures, pour cette année 2006 qui commence.