Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

avril 2002
mai 2002
juin 2002
juillet 2002
août 2002
septembre 2002
octobre 2002
novembre 2002
décembre 2002
janvier 2003
février 2003
mars 2003
avril 2003
mai 2003
juin 2003
juillet 2003
août 2003
septembre 2003
octobre 2003
novembre 2003
décembre 2003
janvier 2004
février 2004
mars 2004
avril 2004
mai 2004
juin 2004
juillet 2004
août 2004
septembre 2004
octobre 2004
novembre 2004
décembre 2004
janvier 2005
février 2005
mars 2005
avril 2005
mai 2005
juin 2005
juillet 2005
août 2005
septembre 2005
octobre 2005
novembre 2005
décembre 2005
janvier 2006
février 2006
mars 2006
avril 2006
mai 2006
juin 2006
juillet 2006
août 2006
septembre 2006
octobre 2006
novembre 2006
décembre 2006
janvier 2007
février 2007
mars 2007
avril 2007
mai 2007
juin 2007
juillet 2007
août 2007
septembre 2007
octobre 2007
novembre 2007
décembre 2007
janvier 2008
février 2008
mars 2008
avril 2008
mai 2008
juin 2008
juillet 2008
août 2008
septembre 2008
octobre 2008
novembre 2008
décembre 2008
janvier 2009
février 2009
mars 2009
avril 2009
mai 2009
juin 2009
août 2009
septembre 2009
octobre 2009
novembre 2009
décembre 2009
janvier 2010
février 2010
avril 2010
juin 2010
août 2010
octobre 2010
février 2011
mars 2011
avril 2011
juin 2011
octobre 2011
décembre 2011
avril 2012
septembre 2012
avril 2013
mai 2013
juin 2013

 

     Posté par Lydia M. le 25.11.03

Le grand (ca)capital nous ment ?

Etre un patron, ce n'est pas donné à tout le monde...
Qu'il s'agisse d'une petite entreprise d'envergure nationale comme Lejolitravail ou de la World company, la direction d'entreprise est un vrai sacerdoce, un challenge de très haut niveau, que seuls des hommes ou des femmes d'exception peuvent relever...
Rien ne doit échapper à ce meneur de troupe, il doit avoir des yeux partout. C'est pour cela que le patron recrute des éminences grises, qui peuvent suppléer, sans jamais vraiment remplacer (faut pas déconner).
N'allez pas croire que le patron se contente d'édicter des règles et d'actionner les manettes, de prendre le pognon et pi c'est tout. Que nenni ! Le patron est un stratège, un visionnaire, capable d'anticipation, de répartie de haut niveau et de diplomatie. S'il n'a pas les connaissances techniques, il compense par un charisme à tout épreuve, qui lui permet de passer maître dans l'art de la gestion des ressources humaines. Il sait valoriser les compétences internes, c'est aussi là qu'est sa supériorité, les mettant sur le devant de la scène sans toutefois exagérer (faut pas déconner non plus). En principe, il ajoute la touche finale qui fait toute la différence, en scotchant ainsi plus d'un sur son fauteuil (trop fort).

Bon, allez, assez rigolé. C'était la théorie.

Passons maintenant à la pratique !

Le patron est un emmerdeur, dont l'unique passion est en règle générale d'humilier et de torturer sans vergogne son personnel.
Son principe de base est bien évidemment "faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais, JA-MAIS !".

"Faire chier, sans se faire chier" est son autre credo.

A Lejolitravail, c'est plutôt "faire chier, mais attention, faire chier proprement, sans se faire chier", toute miction ou toute défécation devant nécessairement être suivie d'un coup de chasse d'eau, complété si nécessaire par un petit passage du balai à chiottes.
Ceci nous a été indiqué récemment par mail, dès fois qu'on aurait aussi oublié les règles fondamentales de l'hygiène (après tout, les a-t-on jamais connues ?) et du savoir-vivre, nous les plébéiens, plus proches de l'animal que de l'être humain.

Cela étant, on ne nous a pas dit de nous laver les mains après chaque passage aux toilettes. C'est bien la preuve que le grand (ca)capital nous ment !



P.S : ça y est, je pars à Jolicolloque !







     Posté par Lydia M. le 18.11.03

Rencontres du 3ème type

Lejolitravail est en pleine effervescence en ce moment, car on y organise un colloque d'envergure nationale.
Ce n'est pas le premier, enfin tels que nous sommes partis, si, ce sera le premier aussi merdique.

Les plus anciens de Lejolitravail, qui sont aujourd'hui , du fait du turnover approchant celui du Cook County Hospital de Chicago (je l'ai déjà dit), les derniers représentants encore vivants d'une époque révolue, le savent : ce colloque, c'est ENOOOOOOORME !
Cependant, cette année, le sang neuf a souhaité s'impliquer, se dévouer corps et âme à la cause de cet évènement majeur, avec un postulat de base simple : "Avant, c'était nul, avec nous, ce sera mieux !".

Ce projet d'envergure nationale est devenu LEUR affaire secrète, les dinosaures n'ayant dans cette sympathique et motivante configuration, qu'à bien se tenir, et à faire ce qu'on leur dit, au moment où on leur demande.
C'est donc dans cette bonne ambiance, faite exclusivement de convivialité, de franche camaraderie et de respect, que l'équipe dirigeante de Lejolitravail, qui n'a JAMAIS confondu les fins et les moyens, a décidé de s'adjoindre les services d'un magicien de la base de données (moyennant une rémunération modique et symbolique bien sûr).
C'est vrai, ce gars est un as : il a élaboré un outil capable au moins en théorie de trier les invités du colloque selon la couleur de leur slip ou la date de leur dernier rapport sexuel, de personnaliser les mailings en distinguant parmi les végétariens, ceux qui détestent les poivrons crus mais raffolent des poivrons cuits (Je salue ici Mme VK, sans laquelle je n'aurais pas pu écrire ce morceau de phrase), et d'identifier les vraies blondes, tout en classant les fausses par numéro décroissant de Diacolor.
Ce gars, qui dort à Lejolitravail, laisse traîner ses vieux mégots sur nos ordinateurs, a fait sienne cette vénérable entreprise. Rien ne lui échappe donc : courrier, codes d'accès, clés diverses, etc. Lejolitravail est devenu aussi gai qu'un funérarium, et aussi ouvert que le siège de la CIA.

C'est donc grâce à la nouvelle génération qui en veut, et à ce gars, qu'à Lejolitravail, on a mis au point un système infaillible pour "gérer" les participants à ce colloque.
Quelques exemples de cette efficacité qui règne enfin en maître à Lejolitravail, après des années de paresse et de chienlit.
Les courageux qui se sont inscrits reçoivent de Lejolitravail, une lettre de confirmation non justifiée, tapée sur du papier sans en-tête (pas la peine, car Lejolitravail est MONDIALEMENT connu), avec une marge gauche d'environ 2 mm, qui dit en substance :

Réf. : 127456 - 8B567 - 22A / conf. inscr. Lejolicolloque / XW007ZORGLUBNIKTAMERE

Chère Mme. R.,
C'est avec une joie non dissimulée que nous vous accueillerons à Lejolicolloque.
Cette inscription vous a été facturée sous la référence RTGVOUHTRDFUCK556699000 (Nous vous recommandons de conserver ce numéro, qui pourra vous être demandé à l'accueil).
Pour vous accueillir dans les meilleures conditions possibles et vous éviter d'attendre pendant trois heures à l'entrée, nous vous prions instamment de vous munir de le présent document que voici, et de vous présenter au comptoir (lettre R), afin que nous vous remettions votre badge. Si par malheur vous avez omis de réserver vos repas, vous devrez ensuite passer au stand déjeuner pour récupérer vos tickets repas.
En attendant d'avoir le plaisir de vous acceuillir (NB : oui, acceuillir c'est mieux finalement) à Lejolicolloque, nous vous prions,CherMonsieur, salutations distinguées.

Là c'est l'emplacement de la signature scannée avec un scan de marque OuiOui.

P.J (en police 42) : munissez vous de le présent document car il vous permettra d'entrer sans difficulté à Lejolicolloque. Encore merci distinguée, Mademoiselle W.

Avant cela, les courageux inscrits auront validé leur badge :
Cher Mme. Patr. Ram.
Prés.dir. Gén.
Lejolitrav.
75022 PARI
Ne mang. ni betterv ni viande cr. ni andouill.


Bon sang, c'est vrai que c'est beaucoup mieux ! Je dirais même que ça a de la gueule, tout simplement.

La classe quoi !














Lost in space ?

Amis lecteurs, rassurez-vous, je ne suis pas mourrue : je ne suis allée récemment ni à Mourmelon, ni à Saint-Nazaire, ni à Bagdad.

Non, il se trouve étonnament que je suis légèrement monopolisée par Lejolitravail, et ce, uniquement because I worth it...J'ai même moins le temps de me réfugier dans le bureau du PaCa pour aller hurler "bite" ou "couille"...Et puis de toute façon ça tombe bien, car bien entendu, jamais, au grand jamais il ne me viendrait à l'esprit de publier ma brillante prose depuis mon ordinateur professionnel de marque Playschool, équipé de logiciels de dernier cri (Windows 1911, Word 1912, Multiplan...) car je suis la meilleure amie du gars sympa qui gère le parc informatique.

Et puis, je n'ai rien à dire, je vais tellement bien : pas de cancer, pas de fric, pas de mec, mais par contre, un super boulot qui me comble entièrement...








     Posté par Lydia M. le 10.11.03

La question qui tue

- Dis Maman, tu l'aimes bien Papa ?
- Ahschreuschreushcreuschreu...
- Dis Maman, est-ce-que tu l'aimes bien Papa ?
- Finis ta purée !!







     Posté par Lydia M. le 5.11.03

Le fait marquant du jour

Je ne résiste pas à en parler : j'ai pu retirer 20 neuros au distributeur avec ma tite carte bleue.

Pour autant, je ne paierai pas une tournée générale pour fêter ça, ni avec vous, joyeux et compatissants lecteurs, ni avec mon chef, envers qui, pourtant, je devrais me montrer éternellement reconnaissante pour la confiance grandissante qu'il m'accorde chaque jour, et pour le salaire à la hauteur de l'estime qu'il me porte.

Mon banquier, quant à lui, reste zen et se montre très rassurant.


Ben alors, où est le problème ?