Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 29.7.03

11 façons d'être français

L'idée saugrenue m'est venue me faire refaire un passeport (c'est cher, mais quand même moins cher que des implants mammaires ou un lifting), et d'y inscrire le Timinus afin de pouvoir l'emmener hors de nos frontières sans avoir à exhiber piteusement mon imposant livret de famille.
Désormais, il faut une bonne dizaine de jours (au lieu d'une heure) pour obtenir le précieux document et la teinte orangée du formulaire de demande Cerfa vire rapidement au vert-de-gris. Outre le fait qu'à mon âge désormais respectable j'ai du indiquer les coordonnées de mes parents ainsi que leur date et lieu de naissance, j'ai été interloquée par la question : "Vous êtes français, car", qui appelle pas moins de 11 réponses.
On y trouve notamment la très subtile distinction entre "Je suis né(e) en France et l'un au moins de mes parents est français", et "Je suis né(e) en France et l'un au moins de mes parents est né(e) en France".
Ces deux cas de figure sonnent fort subtilement le glas du droit du sol, au cas où certains d'entre vous avaient encore des doutes...Quel Kador ce Nicolas...







     Posté par Lydia M. le 11.7.03

Ce n'est qu'un au revoir

Fermeture très provisoire de ce blog, jusqu'à mon retour de vacances.
Je me souhaite qu'elles soient bonnes, je le souhaite aussi à mes fidèles lecteurs. Je serais en revanche moins enthousiaste avec certaines personnes de mon entourage professionnel, àqui je fais déjà trop d'honneur en parlant d'elles.

Ciao !!!







     Posté par Lydia M. le 9.7.03

Capillarité

Fernanda Tavares a des soucis : ses cheveux sont tellement secs, on croirait de la vieille paille. Se coiffer, c'est son calvaire. Probablement qu'elle n'en dort plus la nuit.

Fernanda Tavares est sauvée, car elle utilise un shampoing miracle qui rend sa chevelure "sensuelle", tout ça parce qu'elle le vaut bien.

Quelqu'un pourrait me dire qui est cette dame ?







     Posté par Lydia M. le 8.7.03

Cheetah is alive

Avant que Colonna ne soit chopé (tout à fait par hasard, comme ça, deux jours avant le référendum des gentils, par opposition aux méchants pustuleux qui sortent des bouches de l'enfer), et que les intermittents privent les bobos de leurs pestacles estivaux, il y a eu comme un creux dans l'actualité, ce qui a permis à une chroniqueuse de France Inter de nous parler de Cheetah.
Oui, car la question s'est bien posée : qu'est devenu Cheetah ? (Comment ça, qui est Cheetah ? Cheetah, c'était le chimpanzé de Tarzan, le fidèle compagnon de liane de Johnny Weismuller). Cheetah a 71 ans, et c'est très vieux pour un singe. Cheetah est encore en vie, grâce à un très gentil monsieur, une âme charitable qui l'a recueilli. Il chopine des bières en matant des DVD, fait du piano et feuillette des magazines ! Je suis sûre que Cheetah se fait des petits rails de temps en temps. C'est dégueulasse la vie quand même : il y a longtemps que Tarzan a passé l'arme à gauche.


PS : 1. j'ai récemment fait l'acquisition d'une roulette à pizza. J'en parlerai prochainement, car je sais que ce sujet majeur vous passionnera.
2. Je reçois sans arrêt sur mon portable des appels d'un allemand qui veut parler à un certain Andrea. Ca fait bien 3 ans que ça dure, et ce mec n'a TOUJOURS pas compris. Il me laisse des interminables messages en boche (oui, je sais, j'irai mettre des sous dans Helmut von G.). C'est désespérant. Je me sens envahie (oui, ça fait des sous en plus).




Cheetah est à droite sur la photo !







     Posté par Lydia M. le 3.7.03

De l'accident voyageur et des désagréments qu'il occasionne



J'adore ce terme, pudiquement employé par la RATP, pour nous signaler qu'un horrible drame vient d'avoir lieu, quelque part sur un quai. Entre parenthèse, je me demande toujours pourquoi tous ces gens qui veulent mettre fin à leurs jours choisissent les heures de pointe (c'est vrai, merde quoi, mourrez aux heures creuses, tôt le matin ou tard le soir !).

Tout ça pour dire qu'hier j'ai eu le malheur de me retrouver aux Halles pour prendre la ligne A du RER (afin d'aller visiter le Timinus en vacances chez Papymamie) : ceci m'a donné l'occasion d'éprouver ma capacité de résistance à des conditions extrêmes (heureusement, il n'y a pas d'animaux féroces, encore que l'humanité dans un tel contexte s'apparente à un troupeau de moutons enragés) de température, d'encombrement et surtout, de connerie.
J'ai déjà parlé du difficile combat à mener pour s'accrocher à la fameuse barre : j'ai eu le malheur de lâcher celle-ci dix secondes pour m'éponger le front, et paf, au moment où j'ai voulu remettre ma main, plus de place ! Je n'avais plus d'autre choix que de me plier en deux pour la tenir : tordue et plus petite encore, ça arrangeait bien le gars derrière moi pour poser son journal sur mes épaules.
Pendant que chacun d'entre nous défiait les lois de la gravitation universelle, une jeune écervelée, ne quittait pas son strapontin, jusqu'à ce que quelqu'un lui demande de se lever. Celle-ci s'est exécutée de mauvaise grâce, en soupirant et en répliquant : " J'm'excuse, j'pensais à aut'chose ! ". Ca c'est certain ! Le problème est que cette personne a commencé à polémiquer, prenant à partie un Monsieur de la France d'en bas (oui, cette même France, à mi-chemin du paradis, qui n'est pas encore complètement débarrassée de sa vermine socialiste qui la ronge de l'intérieur) : la discussion, forcément très intéressante, a bien duré 20 minutes, c'est-à-dire jusqu'à ce que la demoiselle s'en aille, gratifiant le Monsieur d'un fort aimable " au revoir connard ".
Comme quoi, la vie est un éternel recommencement.

PS : bien que m'appelant parfois Patricia, je n'ai jamais rencontré ni Patrice Alègre, ni Dominique Baudis. Il me fallait faire cette importante mise au point.

Par ailleurs, je voulais exprimer un point de vue, longtemps refoulée sur les gourmettes. Je déteste les gourmettes, je trouve ça moche, c'est comme ça, je n'y peux rien. Pas plus tard qu'hier, mon regard est tombé sur un poignet sans noblesse, portant une grosse gourmette avec marqué "Loîc" dessus. Trop c'est trop.

Enfin je me dois de décrire le fait qui a fait pencher notre décision finale en faveur du boycott du restau japonais décrit par Monsieur Paca (qui vit désormais dans un abri anti-atomique aux confins du Larzac). En nous levant de table, à 5 personnes, il semble que nous ayons fait beaucoup de bruit, les pieds de nos vieilles chaises raclant épouvantablement le carrelage crasseux de cet établissement désormais blacklisté. Une odieuse symphonie de "grrriinnnnkkkkk, schrkkiiinnnk! ", à laquelle la respectable clientèle attablée n'a pu résister. Evidemment, j'ai remarqué les regards noirs qu'on nous lançait et j'ai dit à PaCa : "Eh, apparemment on fait trop de bruit en partant !". Ce sur quoi, le PaCa et moi-même, toujours délicats avons décidé de rebouger nos chaises, comme ça, histoire d'en ajouter une dernière couche. " La prochaine fois, faites encore plus de bruit ", nous a alors lancé une gentille dame. Outrés, nous quittâmes donc définitivement ce palais du bonheur (qui sent le graillon). Allez, Sayonara m'sieudames !!!