Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
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Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
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Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
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     Posté par Lydia M. le 25.7.02

Profitez-en donc pour faire avancer vos dossiers !

Ceci est une citation, dans le texte, de Juanita B., chef suprême du Stalag 17, qui nous donne, en ce moment, de multiples occasions de nous fendre la gueule et/ou d'avoir aussi envie de lui coller des grosses mandales dans sa tête.

Je reviens sur l'origine de cette fameuse citation, prononcée à l'occasion de notre séance hebdomadaire de torture (lundi matin 9 heures, "tous au rapport bande de larves, et en rang serré").
Pendant cette réunion, que nous appellerons donc réunion de sévices, nous passons en revue les agendas des uns et des autres, en deux temps : la semaine passée et les 15 jours prochains, tout ceci grâce à un planning débile mis au point en une semaine par super Sly, qui te dégaine un tableau Excel aussi vite que son ombre (je rappelle que c'est celle qui court en travaillant à moins que ce ne soit l'inverse, et qui dit dans les couloirs "ah, ben on est là pour bosser, hein !!!")(véridique). Pas nous, ma poule, nous on vient et on ne fait rien du tout, d'ailleurs, on ne sert à rien, comparé à toi, ô Reine des Secrétaires, toi qui seule peut pénétrer les méandres du cerveau du grand Timonier, toi qui est dans la confidence, toi qui te jetterais bravement sur le corps adipeux du chef du Stalag en cas d'attentat à l'agrafeuse).
En général, sur la semaine passée, le grand chef a rencontré des gens nuls, incompétents, mal élevés, à qui il a fallu tout expliquer. Pendant ce temps, les misérables fourmis industrieuses que nous sommes ont répondu au téléphone au pauvre mec qui essaie depuis 2 ans d'appeler l'ambassade d'Ukraine et qui n'a pas compris que le numéro qu'il a est périmé. Mais, j'y pense, c'est de MA faute car je n'ai pas su lui expliquer en ukrainien qu'il n'était qu'un abruti (pas français en plus). Pour les 15 jours à venir, nous avons parfois l'autorisation d'aller en réunion à l'extérieur, mais pas trop loin, sinon ça coûte cher. Nous sommes aussi désignés d'office pour aller à la rencontre des gueux que le chef estime ne pas lui arriver à la cheville.
Parfois, comme lundi dernier, nous n'allons nulle part, pendant que le chef du Stalag contribue à améliorer l'image de notre structure d'envergure nationale, et là, on s�entend dire et là, c'est encore du v'ridique : "Mais, vous ne faites rien, il n'y a donc que moi qui travaille, profitez-en donc pour faire avancer vos dossiers !!!".
Pour le chef du Stalag, l'équation est simple : toi pas en réunion = toi pas travailler !
Mais Bwana, j'ignorais que je devais travailler quand j'étais au travail. J'ai bien eu quelques soupçons quand Sly a gentiment fait passer son message, mais alors là, je suis sciée !

J'ai un dossier qui avance en tout cas, c'est mon dossier "Casse toi de là et trouve un nouveau boulot !".

P.S. :
Pour d'autres tribulations stalagiennes, cf évidemment le blog de mon Pacasuppléant (www.pacablogspot.com)
Pour d'autres tribulations (vacancières) voir celui de sa coturne bronzée (www.monavissurtout.blogspot.com)