Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
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     Posté par Lydia M. le 26.2.03

Le Stalag 17 déménage !!
(et ça coûte tellement cher que dans un an, on fait comme Métaleurop à Noyelles-Godault)

Ca devait arriver un jour, ça nous pendait au nez : le Stalag 17 (plus Stalag 17 que jamais, avec une radicalisation de la dictature, qui devient même parfois de la télé-dictature, car Juanita n'est JAMAIS là, et préfère nous faire chier à distance, c'est mieux) va déménager.
Nos aimables dirigeants ont fait le douloureux constat que nos locaux étaient devenus indignes de notre grandissante renommée intersidérale (même sur Pluton ils nous connaissent, c'est dire). Il est vrai que notre petite structure d'envergure nationale est devenue une véritable multinationale, dont le manager nous est envié dans tous les coins et recoins de la planète (surtout en Corée du Nord et sur Pluton, où on l'enverrait bien en mission très spéciale). D
u coup, on ne pouvait pas se permettre de continuer à travailler dans des conditions aussi déplorables, avec de la peinture au plomb qui s'effrite, de la moquette suspectement tâchée, quelques odeurs ça et là, de déjections félines (ainsi que d'autres traces de la riche vie intérieure du gros félin : restes en voie de fossilisation de vomi sur la tondeuse à gazon, très joli tapis de jeux Friskies et vieux gilet pour les séances de patounage névrotique).

Le dossier déménagement a, comme tout le reste dans cette boîte, été traité avec maestria par notre chef des gommes préféré, avec toute l'honnêteté et la transparence qui le caractérise.
Aujourd'hui, par exemple, des types avec des carnets et un crayon derrière l'oreille, sont venus nous expliquer que nous devions emballer nos "dossiers de proximité" nous-mêmes, avec nos pitites mimines, dans des joulis cartons.
C'est à cette occasion que nous avons appris que si nous avions omis de commander des armoires supplémentaires, on pourrait ranger nos pitites affaires sur nos genoux ou, ailleurs, et sans aucu, aucu, aucune hésitation !!!
C'est également à cette occasion que nous a été communiquée la date exacte du déménagement, date qui avait changé par rapport à la semaine dernière : c'est vrai que de savoir quel jour exactement tu dois te pointer dans tes nouveaux locaux n'est pas si important après tout (Ben, c'est pas l'ex-Stalag 17 ici ? Ah, non Madame, ici y a personne depuis des siècles !).
Cette opération rondement menée s'avère par ailleurs être un gouffre financier comme on les aime : tout n'est que démesure, et nous serons bien sûr ensuite contraints de remercier chaque jour un peu plus, et ce pour l'éternité, notre boss (qui s'appelle Juanita, tiens donc) de gauche, pour avoir si considérablement transformé nos misérables conditions de travail.
Assurément, nos nouveaux locaux feront bien des envieux.


Les lavabos...


La salle de réunion...


Le mobilier...


Ils vont aussi nous mettre sur la paille, mais ça c'est un minuscule et épsilonesque détail !!