Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 19.1.04

Vais-je devenir cunicultrice ?

Ca y est, je vois vos sourires narquois : vous vous dites que je suis une cochonne, qui, de plus, fait son coming out.
Et bien, je vais peut-être décevoir certaines de mes lectrices : non, je ne suis pas devenue lesbienne. Ce n'est pas parce que je bois de la tisane, que j'ai le cheveu court et que, c'est vrai, j'ai un penchant avoué pour les lampes (Je ne fais ici qu'énoncer la théorie de PaCa), que j'aurais viré ma cutie pour autant.
Non, bandes d'ignares obsédés : la cuniculture, c'est l'élevage des lapins (et des lapines...sans aucun jeu de mot pourri...pas mon genre).

Pourquoi, me direz-vous, penserais-je subitement à embrasser cette confidentielle, mais certainement passionnante, profession ?
Pour offrir des manteaux à mes copines (toujours pas de jeu de mot) ?
Non, car certaines sont allergiques au poil de lapin, et d'autres détestent la fourrure, quand ce n'est pas les deux à la fois.
Pour manger la chair de ces bestioles innocentes ?
Non, plus, beuark, et puis quoi encore.

Mais, alors POURQUOI ?

Parce que tout, absolument tout dans ma vie, me ramène toujours à ce petit être poilu aux grandes oreilles : je ne parle ici ni de mon fils (qui a hérité de ma pilosité et de mes oreilles d'après mon ex) ni de moi-même, mais bien de ce charmant, frémissant et bondissant petit mammifère de la famille des lagomorphes.

Je ne sais pas exactement quand cela a commencé. Peut-être finalement qu'il faut remonter à septembre 1998, au moment où nous fîmes confectionner le faire-part de naissance de Timinus : une très réussie composition de lapins façon Andy Warhol.
Pourtant, pendant quelques années, et jusque récemment, il m'a semblé que c'était plutôt le cochon qui régnait en maître sur ma vie (j'en ai déjà parlé).

Le jour où je suis arrivée dans mon nouveau bureau, tout propre à Lejolitravail (ne me dites pas que vous avez oublié nos locaux topkapiens), j'ai regardé par la fenêtre, histoire de m'acclimater avec mon nouvel environnement de cravail (pas parce que je glandais, non mais !), j'ai vu deux petits animaux gambadant sur le balcon d'en face, et là, ô surprise, je me suis aperçue qu'il s'agissait de deux Jeannot lapins.
Depuis, tout s'est accéléré, chaque jour qui passe m'offrant ainsi son lot supplémentaire de lapin(s).
- Les lapins géants (9 kg) du salon de l'agriculture, dont Timinus se souvient encore,
- Le grand come back du lapin blanc de la pub pour Cassegrain,
- Les questions de Timinus sur le lapin de la boîte de Nesquick (oui, ce félon qui a comploté pour piquer la place de Groquick),
- L'obligation faite par Timinus de l'appeler "mon lapin" ou à la rigueur, mais vraiment à la rigueur, "mon poussin",
- Les lapins posés ça et là,
- Un chaud lapin qui se reconnaîtrait certainement s'il lisait ces quelques lignes...

En même temps, je préfère ça aux cafards.









Ca craint du lapin tout ça non?