Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 9.2.04

Le 14 février, ça vous dit quelque chose ?

Comment garder son calme quand on reçoit un message aussi stupide ?
Je sais bien que c’est la Saint-Valentin, fête des zamoureux ! Mais moi je n’ai pas d’amoureux !
Cela étant, quand j’en avais un, enfin, quand je pensais en avoir un, cela ne changeait pas grand-chose : pas de pause, ne serait-ce que d’une journée dans sa goujaterie et son indélicatesse (mais il paraît que c’était tout de ma faute : pasque, je l’ai déjà dit, j’étais une méchante sorcière et tout, et tout…).
Ceux qui ont concocté ce message ont pensé à tout, en le divisant en deux parties : l’une réservée aux casés, qui nagent dans le bonheur de vivre à deux (ils peuvent, pour l’occasion, s’offrir des voyages aux Bahamas, des jolies bagues, des strings en dentelle, etc..) et les autres, les indigents, qui sont célibataires, mais qui peuvent profiter de tout cet amour flottant dans l’air pour faire des rencontres sur internet…A vrai dire, présentée comme ça, la 1ère catégorie ne m’a jamais donné vraiment envie, mais pas uniquement à cause de mon légendaire esprit de contradiction et mon aversion héréditaire pour les fêtes programmées : proclamer et fêter son amour une fois par an seulement, ne rime à rien. Si c’est bien, pas besoin de célébrer ça annuellement, mais quotidiennement !

Enfin, bon, je fais mon intéressante, mais pour l’instant, personne dans ma vie avec qui fêter quoi que ce soit le 14 février prochain : banalement, celui-ci sera donc le lendemain du 13, mais surtout, la veille du 15.
Et l’avant-veille du 16.



Tragicomix : bellâtre, amoureux, et très très énervant !