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Posté par Lydia M. le 30.9.05
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Joyeux anniversaire !!Mon titounet Putain, 7 ans... (la vache, ça ne me rajeunit pas)

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Posté par Lydia M. le 27.9.05
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Qui c'est celui-là ?Ami lecteur, tu es probablement trop jeune pour avoir chantonné sur le chemin de l'école ce succès du hit-parade de l'année 1974 (hum...), "Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ? Complètement toqué, ce mec-là, complètement gaga...". Ptêt même que tu étais à peine conçu ou encore en train de têter ta reum (va donc savoir). Pas moi. En 1974, j'allais déjà à la grande école. Et j'aimais bien cette chanson de Pierre Vassiliu, enfin, pour autant que je m'en souvienne (et merde). Je l'aimais d'autant plus que j'habitais dans sa maison. Enfin pas en même temps que lui. Mais la maison où il avait habité, passé une partie de son enfance. Dans cette maison en meulière, biscornue, il y avait un grand jardin. Et au fond de ce grand jardin, après le cerisier, devant le massif de framboisiers, il y avait des drôles de trucs dans la terre. Des os d'animaux. Même que c'était le poney de la famille Vassiliu, et ça concorde parfaitement avec sa bio, dont voici un extrait : "(...) Fils d'un médecin d'origine roumaine et d'une tourangelle, Pierre Vassiliu est né le 23 octobre 1937 dans le Val-de-Marne. Peu attiré par les études, il se passionne pour l'équitation et participe à de nombreux concours hippiques et autres courses équestres (...)". Et ben voilà : j'ai cotoyé l'animal mort d'un chanteur célèbre (mais pas mort). Je suis (presque) mûre pour aller vivre avec Alain Delon et ses 35 chiens canés et enterrés dans son jardin (mais je cède volontiers ma place à une autre, parce que je suis une femme généreuse et surtout, je ne vois pas pourquoi j'irais m'emmerder avec lui. Bref, il n'en est pas question. Désolée, Alain. Encore une grosse désillusion, je sais. Mais tu t'en remettras, j'en suis certaine).
Avoue, ami lecteur, que ça t'en bouche un sacré coin.
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Posté par Lydia M. le 26.9.05
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Et maintenant, une petite page de pub Chaud devant (ou derrière), chaud !
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Posté par Lydia M. le 23.9.05
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Petits instants de grâceLa gestion des contraintes, c'est mon lot quotidien. Je cours, planifie, organise, optimise, prévois. Je m'essoufle aussi parfois. Pourtant, peu, si peu de temps pour me poser, encore moins pour regretter quoi que ce soit. C'est comme ça. Au milieu de cet absurde agenda, je profite de minuscules parenthèses. De trop rares moments où j'ai l'illusion d'être libre. Mais ça ne dure pas bien longtemps. Ce matin, je suis allée travailler à pied. Musique dans les oreilles, tour Eiffel, la quiétude du Champ-de-Mars, les feuilles qui se ramassentà la pelle, tu vois, je n'ai pas oublié... Ce matin, il y avait un je ne sais quoi dans l'air. L'été qui se termine, peut-être. J'ai aussi pensé à toi. Et c'était encore mieux.
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Posté par Lydia M. le 21.9.05
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ChoquéeEnlala, mon patron des fois (en fait, souvent) me dit : "Putain, Untel est un vrai casse-couilles, ah, excusez-moi, hein, Lydia !" Et là, généralement, j'essaie de prendre un air vaguement outré, de me la jouer un peu mijaurée, et je fais : "Oh, meuhnonmeuhnon, surtout ne vous excusez pas, hihihi !". S'il savait, le monsieur... (il aurait peut-être regardé à deux fois avant de m'embaucher ? Enfin, j'aime autant qu'il ne sache pas trop quand même, c'est que j'ai un gosse à nourrir, moi...)
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Posté par Lydia M. le 20.9.05
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Dans toute ma splendeur
Ce n'est plus un secret pour personne, c'est notoire : je suis messante (enfin, pas tout le temps quand même, mais très souvent paraît-il, et même messante, tendance crypto-stalinienne).
Alors, en prévision de cette soirée de demain, je me permets de vous rappeler quelques règles élémentaires de savoir-vivre me concernant : 1. Mon hébergeur, c'est blogger. Je sais, certains trouvent que c'est pas bien, parce que pas convivial, tout ça tout ça. Mais primo je m'en tamponne grave, deuxio, il y a plus de trois ans, quand personne n'avait encore de blog, à part une centaine de givrés comme moi, il n'y avait à peu près que blogger sur le marché et tertio, je ne suis moi-même pas du tout conviviale (donc il faut me laisser tranquille). 2. J'ai horreur qu'on vienne me causer informatique, surtout quand je suis en train de boire des bières (tout le temps en fait, enfin je veux dire jamais, mieux vaut éviter de me causer informatique, sauf des trucsmachinspéciaux dans certaines circonstances très très particulières que la décence et mon surmoi m'interdisent de décrire ici). 3. Je déteste faire la bise à des gens que je ne connais pas. Une poignée de mains franche et virile ça me va bien. Mais, euh, les "bonsoir, smack, smack, (et des fois, y faut même en faire 4) enchantée, Lydia", ça me sort par les yeux. 4. Je travaille "dans les autoroutes", c'est la formule consacrée. Inutile d'essayer de m'en faire causer, je m'en contrefous comme de ma première chemise.
Autre chose qui vous ferait plaisir ?
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Posté par Lydia M. le 19.9.05
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YouUn jour (presque) comme un autre... Lumineux matin d'automne. Mon bus traverse la Seine au pont de l'Alma. Et j'ai juste le sourire aux lèvres, en pensant aux moments qu'on passe ensemble, et au bien que tu me fais. (merci, aussi)
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Posté par Lydia M. le 16.9.05
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Victoire !RTT méritée aujourd'hui : journée de glande (et de consommation), bien que levée à 7h pour cause de convoyage de gnôme à l'école...et donc, coiffeur, déjeuner avec mes anciens collègues et néanmoins amis, achats d'effets personnels de 1ère nécessité chez Kookaï, de cadeaux d'anniversaire pour deux personnes qui vont sur leurs, euh, 28 ans... Coiffeur ? Coiffeur... Et même que je me suis aperçue que j'étais coiffée comme Sophie Marceau dans la Boum, avec une frange plus discrète, mais quand même des mèches sur le front... Et, forcément, qui dit jolie coupe, dit chanson merdique qui va avec... Lalala, lalala, lalala, lalala, la, la Met you by surprise, I didn't realizeThat my life would change foreverSaw you standing there, I didn't know I caredThere was something special in the airDreams are my realityThe only real kind of real fantasyIllusion are a common thingI try to live in dreamsIt seems as if it's meant to beDreams are my realityA different kind of realityI dream of loving in the nightAnd loving seems alrightAlthough it's only fantasy(...)
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Posté par Lydia M. le 15.9.05
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LostMais que serait-il passé, hein, si l'avion qui transportait Denis Brogniart avec l'urne de Koh-Lanta (celle avec les votes dedans, scellée dans la jungle sous contrôle d'huissier) s'était crashé dans le Pacifique ? On aurait recherché les survivants, les deux boîtes noires de l'appareil ET l'urne. Ben oui, pour connaître le nom du gagnant du jeu. (excuse-moi, ami lecteur, mais j'ai été très occupée ces temps-ci. Merci d'avoir patienté. Je ne recommencerai plus. Promis)
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Posté par Lydia M. le 12.9.05
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Putain de dimanche "Où est passé Paris la grise Paris sur brume, la mouillée ? L'est parti Paris l'oubliée Parti sur la pointe des pieds Paris la grise (...)"
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Posté par Lydia M. le 6.9.05
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Demain, on vous met, demain, on vous met le feu !"Fa va être le feu, euh, paske fa va être le feu..", William Gallas (ton univers impitoya-able), à propos du match Eire-France de demain. Bon. D'accord. C'est noté. (surtout, continuez à interviewer les sportifs, amis journalistes, sinon, la vie serait beaucoup moins drôle)
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Posté par Lydia M. le 4.9.05
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Ta mère en tongsEntendu récemment de la bouche de ma propre mère : "dis moi, il est italien, ton amoureux ?" "Euh, non, pas du tout, pourquoi tu me demandes ça ?" "Ben, c'est à cause de ta nouvelle cafetière, je me suis dit qu'il était sûrement italien. Alors, je voulais aussi te dire de te méfier, hein paske les italiens c'est des coureurs.." "Hem, si tu t'entendais, tu me demanderais de t'abattre tout de suite..." Relaté par un gars que je connais de très très près. Question posée par sa mère : "dis donc, ta Lydia là, est-ce qu'elle est noire ?" J'ai l'intention de collecter toutes les perles de nos mères, de la tienne aussi, ami lecteur vigilant. Je pense qu'on pourra en faire un bouquin très très rigolo. En attendant je fais des efforts pour garder mon calme. La toute dernière, en exclu mondiale : "Ah ben t'étais là hier...première nouvelle...on voulait venir dormir chez toi samedi soir, heureusement qu'on l'a pas fait, hein ?!" "Premièrement samedi soir, j'étais pas chez moi, et deuxièmement, si vous veniez dormir chez moi, j'imagine que vous me téléphoneriez avant, non ?"Un vrai festival en ce moment. Pfiouuuu, elle est déchaînée...
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