Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
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So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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     Posté par Lydia M. le 27.9.05

Qui c'est celui-là ?

Ami lecteur, tu es probablement trop jeune pour avoir chantonné sur le chemin de l'école ce succès du hit-parade de l'année 1974 (hum...), "Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ? Complètement toqué, ce mec-là, complètement gaga...".
Ptêt même que tu étais à peine conçu ou encore en train de têter ta reum (va donc savoir).

Pas moi.
En 1974, j'allais déjà à la grande école.
Et j'aimais bien cette chanson de Pierre Vassiliu, enfin, pour autant que je m'en souvienne (et merde).
Je l'aimais d'autant plus que j'habitais dans sa maison.
Enfin pas en même temps que lui. Mais la maison où il avait habité, passé une partie de son enfance.
Dans cette maison en meulière, biscornue, il y avait un grand jardin.
Et au fond de ce grand jardin, après le cerisier, devant le massif de framboisiers, il y avait des drôles de trucs dans la terre.

Des os d'animaux.

Même que c'était le poney de la famille Vassiliu, et ça concorde parfaitement avec sa bio, dont voici un extrait : "(...) Fils d'un médecin d'origine roumaine et d'une tourangelle, Pierre Vassiliu est né le 23 octobre 1937 dans le Val-de-Marne. Peu attiré par les études, il se passionne pour l'équitation et participe à de nombreux concours hippiques et autres courses équestres (...)".

Et ben voilà : j'ai cotoyé l'animal mort d'un chanteur célèbre (mais pas mort).
Je suis (presque) mûre pour aller vivre avec Alain Delon et ses 35 chiens canés et enterrés dans son jardin (mais je cède volontiers ma place à une autre, parce que je suis une femme généreuse et surtout, je ne vois pas pourquoi j'irais m'emmerder avec lui. Bref, il n'en est pas question. Désolée, Alain. Encore une grosse désillusion, je sais. Mais tu t'en remettras, j'en suis certaine).

Avoue, ami lecteur, que ça t'en bouche un sacré coin.