Aller-retour
(la grosse flippe du lundiquifaitchier)
Finalement, les allers-retours m'emmerdent.
Un jour, il faudrait peut-être que je parte, sans savoir vraiment si je vais revenir.
Juste m'en aller, comme ça, sans promesse de retour, sans penser à la suite.
Comme ça, j'aurais l'impression que ça ne fait que commencer (Ah, les débuts prometteurs, c'est bien, c'est chouette, comme chez Laurette).
Mouais, enfin bon, je cause, je cause, mais je suis toujours là (si c'est pas moi, c'est quelqu'un qui me ressemble vachement.)
Et puis franchement, il y a quelques personnes autour de moi que je n'ai pas du tout envie de quitter, non mais vous pensiez que vous étiez enfin débarrassés de moi, comme ça, d'un coup de baguette magique (ta mère) ? Oh l'autre eh !