(mais pas avec du poil autour)

Et oui, à l'instar de cette personne, redevenue après une interruption momentanée des programmes d'environ 3 ans, ma collègue de travail, je m'apprête moi aussi à fêter mon bloganniversaire...

Dans quelques jours, ami lecteur, que tu sois fan de la 1ère heure ou arrivé ici en recherchant la semaine dernière sur google "trou de balle" ou "catalogue pronuptia" ou "un seul être vous manque et tout est dépeuplé", ça fera 4 ans que j’existe dans la blogosphère…et tu es toujours là...je te trouve persévérant, et même assez courageux finalement...

Tu m'as accompagné pendant 4 ans...48 mois...tu as assisté pendant tout ce temps, quasiment en direct, à mes pseudo-aventures à la noix, à mes piteux efforts pour ne pas être aspirée par le vide abyssal de ma propre existence, à mes lendemains de soirée riches en oligo-éléments (?), à mes conflits professionnels plus ou moins larvés, et j'en passe...Bref, tu as suivi tout ça d'assez près.
Et tu es encore là : je dis à la fois bravi et merco, euh, bravo et merci.
Puisque tu es encore là, j’en profite pour te dire que c’est pas fini.
Loin de là.

C’est vrai qu’en ce moment, avec mon nouveau travail, mes autres activités blogguesques, ben j’ai un peu moins de temps. Et puis, surtout, il y a LUI (pas le journal, hein…).

Au moment où je pensais que j’étais perdue pour la science, quelqu’un (lui) a fait irruption dans ma vie.
On s’est connu, on s’est reconnu, et on s’est perdu de vue... bof, pas longtemps, deux semaines, où chacun est reparti de son côté. Deux semaines de désespoir intense, des nuits sans sommeil, à essayer de comprendre pourquoi…

Et aujourd’hui, c’est avec lui que j’ai des projets qu’ils sont chouettes... plein...
Comme quoi, la vie, dis donc, elle te réserve des surprises.

Mais ne va croire ami lecteur, que la mémérisation me guette pour autant, même s'il paraît que je suis moins messante qu'avant (un effet de l'âge ?) et même si on aura bientôt un lave-vaisselle, et peut-être même une friteuse.

J'ai désormais une certitude (une seule, mais c'est déjà bien, non ?) : j'aime. Et je suis aimée.
Ca fait quand même une sacrée différence.

Mais sinon, ben, on va continuer à se fendre la gueule.
Plus que jamais.