Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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Pignouf tu es né, pignouf tu resteras
     Posté par Lydia M. le 21.9.06

Y a pas à tortiller, le mois de septembre revient tous les ans à la même époque, avec ses feuilles qui tombent et son lot récurrent d'emmerdements (mais pas que).

Comme par exemple mon ex (le pignouf du titre... je préfère préciser, on ne sait jamais) et ses velléités de reprendre en main l'éducation de son fils.
Cela se traduit par de pas très très discrètes tentatives de bourrage de mou, pour que j'inscrive sa progéniture à des activités à la con, auxquelles ledit père ne participe ni financièrement ni pratiquement.
Comme tous les ans à la même époque, il se contente de donner des directives, à la manière d'un patron s'adressant à sa petite employée.
Bien évidemment, la plupart du temps, ça m'agace au plus haut point : il s'agit juste d'intrusions, comme s'il voulait instaurer une ridicule lutte d'influence (et la gagner of course, car c'est un winner qui le vaut bien, du moins c'est ce qu'il pense de lui).

L'année dernière, c'était le foot : il avait décidé que son fils en ferait. Il m'avait fait un mail détaillé pour m'expliquer à qui m'adresser, combien ça coûtait et où avaient lieu les entraînements. Et bien sûr, tout avait lieu le mardi soir à perpète ou pas loin, avec des matches dans le trou du cul de la banlieue les samedis après-midi ou dimanches matin. A la vue de ces réjouissantes et très contraignantes perspecives, j'avais dit : OK, mais tu t'occupes de tout, tu payes, tu laves les maillots et les chaussures, tu l'emmènes et tu vas le chercher.
Ca l'avait calmé aussi sec.
Cette année, il a jeté son dévolu sur le tennis, m'affirmant tout de go fin août que son fils en ferait à la rentrée. Ah ? Tu l'as déjà inscrit quelque part alors ?
Ben non.
Finalement la personne directement concernée par son avenir sportif a opté pour le basket.
Dommage !!

Septembre, c'est aussi le retour des misérables considérations sur la pseudo-maigreur du minus, les classes qu'il aurait pu sauter (ben voyons !) et les vêtements que je dois fournir en quantité, et qu'on me rend sales (et en général en quantité moindre).

le catéchisme n'a pas été remis à l'ordre du jour : mais j'ai bon espoir.
Le sujet va revenir sur le tapis, toujours amené avec tact et délicatesse.

Un genre d'éternel retour en somme.
Car on ne change pas une équipe qui gagne.