Le blog à Lydia M.
Mes (més)aventures, ma vie, mon oeuvre. Du palpitant en veux-tu en voilà, forcément.
Un petit commentaire en privé ? mesaventures(at)gmail.com


 

Avant j'écrivais là :
Paris15.fr
Film à voir

Souvent je traîne par là :
(Suisse mais) Bon pour ton poil
So Tangibeule
Khazâd, feignant, l'a arrêté (mais en fait, non, mais en fait si)
Lelapin
Schtroumpfs
Wayne, feignant, comme Khâzad (mais en fait, non, mais en fait si)
Du bon miam
Yeux ouverts


 

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C'est pas parce que je suis heureuse que je ne vais pas continuer à détester des trucs
     Posté par Lydia M. le 4.12.06

Ouais.
Non, mais c'est vrai et puis quoi encore.
Pas juste pour le plaisir de m'énerver.
Mais vraiment parce que y a encore des choses qui sortent par les yeux (Beuuuuark. Tiens, je suis toujours oculophobique. Pareil qu'avant. Pire même.)
Par exemple, Noël me les brise toujours autant, hein. Faut pas croire.
Enfin, c'est pas tant le jour de Noël, dont je me cogne éperdument, que la fièvre acheteuse que chopent tous les parisiens.
Ca les énerve drôlement d'être obligés de faire des cadeaux chers à des gens qu'ils n'aiment pas, à bien y réfléchir.
Le jour de l'an, bof, pas top non plus. C'est-à-dire que me retrouver dans une soirée avec des tas de gens inconnus qui sont pafs au bout de deux verres et, qui pour l'occasion, font des efforts culinaires démesurées pour un résultat minimal qui fout la gerbe, ça non plus, ben, j'aime pas du tout. Et après, il faut leur faire la bise à minuit en leur souhaitant la bonne année, santeur, bonhé, et tout et tout...
L'année dernière, à Noël, j'étais dans la famille de Lelapin, et on avait beaucoup beaucoup ricané, même si, à l'époque, j'avais franchement pas envie de me fendre la poire. Et pis pour le réveillon du 31, j'avais dîné en tête-à-tête avec Ladame. Un dîner excellent et très arrosé.
Plus tard dans la soirée, j'avais retrouvé celui qui partage ma vie désormais.
L'année avait commencé en fanfare.

Pour autant, tu l'auras constaté fidèle ami lecteur, je ne me suis jamais départie de mon intolérence légendaire, ni de mes coups de gueule qui servent à rien.
Manquerait plus que je devienne gentille.
En plus d'être heureuse.
Ca ferait beaucoup trop.