... je ne peux pas écrire ici. Du moins pas ce que je voudrais, qui serait beaucoup trop triste.
Alors je préfère m'abstenir, car je n'ai pas envie de te balancer sans cesse mon chagrin et ma douleur dans ta caboche, ami lecteur.
Mais sache que je n'oublie personne, non, non...
(et puis merci pour tous vos petits mots gentils, ça réconforte, vraiment).
Là, aujourd'hui, je pars, je suis obligée : un déplacement professionnel, pendant lequel je vais devoir être souriante et énergique, un vrai défi.
Puis un petit week-end, trop court, mais face à la mer.
Et puis on reprendra comme avant.
Comme avant ?